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« Les anciens couraient 1 600 mètres avec la Poule d'Essai ou les Guinées (…). Et après ça, ils poussaient même jusqu’à 3 000 mètres pour le Grand Prix de Paris. Au fond, ce que nous faisons aujourd’hui avec Mqse de Sevigné, c'est ce que n'importe quel éleveur classique aurait fait avec un 3ans de premier plan jadis. »
Edouard de Rothschild
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« Elles ont toutes les deux du génie, sans aucun doute, mais pas la même expression de ce génie. »
Alain de Royer Dupré
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« J’ai encore sous les yeux le cheval d’or de l’obstacle 1980, que mon père a reçu alors que nous avions au plus trois poulinières. »
Louis de Bourgoing
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« Quelques jours avant la vente, le poulain s’était mis un coup au boulet. Rien de méchant mais on n’avait pas de radios, à l’époque, et ça avait refroidi tout le monde. »
Frédéric Sauque
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« J’ai très bien vendu la pouliche et ça m’a payé mon appartement. »
Paul Nataf
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Généralement impassible, il m’a dit « Merde. On est foutu. »
Patrick Offenstadt
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« Pour un jockey, monter un Fabre, c’est un vrai plaisir. »
Un jockey
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Yannick Fouin (et Elisabeth Fabre, donc)
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« Il n’aurait certainement pas fait un bon politicien, à l’heure actuelle. »
John Hammond (à Julian Muscat, pour Racing Post)
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« Je ne l’ai jamais entendu dire de mal d’un cheval, même médiocre. »
Charles-Henri de Moussac
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« Si vous me demandez quels sont les artisans de notre succès, je vous répondrai : André Adèle, ma femme et le personnel de l’écurie. »
André Fabre (à Louis Deniel, pour Paris-Turf)
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« Nos parents voulaient que nous apprenions le dressage et l'équitation avant que nous ne commencions à monter à l’entraînement. Toute notre formation était centrée sur le concours complet, et ce fut une fantastique expérience. »
Joseph O’Brien
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« Ce que j’aime dans les courses, c’est le partage. »
Sofiane Benaroussi