À LA UNE
« UNE ANNÉE, J’ AVAIS ÉTÉ SOLLICITÉ PAR L’ ENTOURAGE DE PARTANTS AU PRIX DE DIANE LONGINES ET À ASCOT POUR LEUR CONFECTIONNER UN CHAPEAU ET TOUS DEUX ONT GAGNÉ LEUR COURSE! »
Frédéric Séheux
LE SAVIEZ-VOUS?
L’ expression du « chapelier fou » n’ est pas une légende mais bien liée à l’ histoire du chapeau. Au XVIII e siècle, les chapeliers traitaient les feutres avec des produits chimiques tels que le mercure pour fabriquer leurs chapeaux. L’ exposition prolongée à ces substances chimiques provoquait de graves lésions neurologiques provoquant des troubles mentaux.
PAGE DE GAUCHE
Frédéric Seheux, chapeau à la main, devant la devanture de sa boutique
à Honfleur.
© Mégane Martins
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