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UN LIEN MOINS TÉNU AVEC LE " BALLIÈRE " ET L’" ATLANTIQUE " |
Nimrod Borealis en 2008 |
© Scoopdyga |
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Le lien se resserre-t-il davantage entre le Prix des Ducs de Normandie et le Prix René Ballière, disputé, à la fin du mois de juin, sur les 2.100 mètres, autostart, de la grande piste de Vincennes? Pas vraiment, en fait, avec, seulement, quatre coups de deux depuis cinquante ans, ceux de Rêve d ' Udon, en 1989 et en 1990- avec, à titre exceptionnel, dans le tournoi caennais, ces deux années-là, un départ lancé, sur 2.100 mètres, plus en adéquation avec le rendez-vous parisien-, celui de Shalom- ex aequo, à Caen, avec Ursulo de Crouay-, en 1991, et celui, bien plus tard, de Texas Charm, en 2013. Et, en amont, quid du Prix de l’ Atlantique, sur les 2.150 mètres, autostart, d’ Enghien? Trois doublés avec les " Ducs ", c’ est tout, respectivement en 1987, via Ourasi, en 1990, avec Rêve d’ Udon, et, en 1998, par l’ entremise de Défi d ' Aunou. |
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UN GROUPE 2, CERTES, MAIS PROPRE À SACRER DES CHEVAUX DE GROUPE I |
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En résumé, il faut dire que le Prix des Ducs de Normandie se suffit à lui-même. Il n’ est " qu’ un " Groupe 2, certes, mais propre à sacrer des chevaux de Groupe 1, des vainqueurs de Prix d’ Amérique, tels Grandpré, en 1979, Ourasi, Abo Volo ou encore Oyonnax en 2010, des chevaux d’ Elitloppet, comme Etonnant et Hohneck, un " Champion du Monde ", Rêve d’ Udon, un triple lauréat de " Cornulier ", Kaiser Trot, à l’ honneur en 1982, une gagnante de huit Groupes 1- rien que cela!-, Bahama ou encore une série de hongres phénomènes, à savoir Giesolo de Lou, Général du Lupin, Nimrod Boréalis, Roi du Lupin et Aubrion du Gers. Ce n’ est déjà pas si mal. |