parlementaires en interagissant avec les législateurs lors des audiences des commissions législatives. Grâce à une plate-forme en ligne de discussion en direct, les citoyens peuvent assister à ces audiences et poser des questions en temps réel aux ministres et experts.
La société civile peut également aider les parlements à être plus accessible. M. Ferri a partagé une étude de cas d’un « hackathon » (marathon de programmation information collaborative) qui a eu lieu à la Chambre brésilienne en octobre 2013. Des programmeurs ont passé plusieurs jours à transformer les données publiques (p. ex., les comptes-rendus de la Chambre) en formats visuels plus conviviaux. Par exemple, une des applications créées permet de présenter les discours des parlementaires avec des bulles illustrant l’importance plus ou moins grande de certains sujets et le nombre de fois qu’un législateur a traité d’un sujet particulier. Suite au succès de ce projet, il y a maintenant un espace permanent de programmation informatique collaborative où les législateurs, le personnel parlementaire et les programmeurs peuvent continuer à collaborer.
M. Ferri a conclu en mentionnant que ces projets peuvent consolider des réseaux citoyens permettant à nos systèmes législatifs de développer des modèles de démocratie participative.
María Baron, directrice de la Fondation Directorio Legislativo a préparé une présentation (en espagnol) sur les travaux du Réseau latino-américain sur la
« Les technologies de communication sont incroyablement avancées. Il s'agit d'une énorme opportunité que tous nos parlements ont et nous devons en profiter. De plus, la société civile est bien organisée. »
« Nous devons être responsables devant les citoyens que nous représentons. »