Boules de pâte de lavash
(Photo par Ara et Sossi Madzounian, le programme ‘‘Mon Arménie’’, l’Institut Smithsonian et l’USAID)
Certains mythes arméniens sont liés à la préparation du lavash. Les habitants de Vayots Dzor croient aux vertus mystiques et curatifs du lavash. Une croyance est liée à la phase finale de la fabrication du lavash. Lorsque le lavash est sorti du tonir, il doit être placé sur le sol avec son côté ‘‘droit’’ vers le haut, le côté non collé au tonir. Si cette stratégie n’est pas suivie, les femmes plus âgées de l’équipe commencent immédiatement à frapper les genoux et exigent que la mise en place du lavash soit fixée pour ne pas apporter de la malchance à la famille où l’on fait le lavash.
Les femmes utilisant le coussin blanc de cuisson
(Photo par Ara et Sossi Madzounian, le programme ‘‘Mon Arménie’’, l’Institut Smithsonian et l’USAID)
commencent immédiatement à frapper les genoux et exigent que la mise en place du lavash soit fixée pour ne pas apporter de la malchance à la famille où l’on fait le lavash.Le lavash joue également un rôle important pendant les cérémonies. Pendant le mariage, le lavash décoré de ruban est mis sur les épaules des mariés pour assurer le bien-être de la nouvelle famille.Les habitants du village de Rind, après la préparation du lavash, utilisent la farine restante pour révéler le sexe d’un bébé. La farine restante est faite en deux boules de pâte que la femme enceinte doit passer à travers les vêtements et jeter dans le tonir. Si la pâte éclate, le futur enfant sera une fille et si la pâte prend plus de temps à s’ouvrir l’enfant sera garçon.
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