PixaRom numéro 4 PixaRom numéro 4 Mars 2014 | Page 69

PORTAIL MULTIPLAN Parce que, dans un orchestre symphonique, il y a forcément du violoncelle et que la présence de cet instrument permet de renforcer l’effet pesant qui plane autour du joueur. Sans compter que nous entendrons cet instrument quasiment seul pendant quatre mesures, comme si c’était lui qui nous permettait de mesurer toute la portée du niveau. Cependant, si l’on tend bien l’oreille, on peut aussi arriver à entendre un petit son synthétique. Très discret et complètement caché par le violoncelle, il représente tout de même l’idée de base du jeu : l’espace. Sauf que les niveaux, à partir d’ici, deviennent tellement durs que l’on a plus le temps de se promener admirer les étoiles. Heureusement, l’impression de légèreté, d’envol et de liberté va se retrouver augmenter avec l’arrivée du violon venant supplanter la mélodie du violoncelle. Ainsi, le joueur retrouve l’espace qu’il avait rencontré avant dans tous les autres niveaux pour ne pas se sentir perdu et esseulé. Mais alors que l’on pensait que le violon allait garder sa place, voilà qu’une trompette arrive pour tout chambouler et rappeler au joueur que, non, maintenant, tu fais gaffe, tu surveilles et tu restes aux agu WG2