PixaRom numéro 4 PixaRom numéro 4 Mars 2014 | Page 38

BOUILLON DE PIXELS Les Resident Evil oldschool et les Dead Space souffrent particulièrement de ce syndrome, où la démarche de faire un tour inverse est souvent laborieuse et sans grand intérêt. Pire encore, cela peut être vu comme une mécanique consistant à augmenter artificiellement la durée de vie. Points malus en cas de résultat final à la logique discutable, comme les quatre masques pour libérer un zombie dans un cercueil (une chaîne se brise à chaque fois) et récupérer un badge d’accès Umbrella caché dans ledit cercueil, merci Resident Evil Zero. Le principal souci est donc l’installation d’un sentiment de monotonie tranchant avec le reste du jeu, provoquant soupirs Vous ne voulez pas savoir tout ce qui a été nécessaire pour obtenir ladite clé. et sensation de perdre son temps sans satisfaire ses appétits ludiques. à la fois bien doser et rester cohérent avec Il ne faut pas occulter que de grandes le contexte. séries de jeux comme les Castlevania font Reste que cela paraît trop souvent artimontre d’un haut taux de backtracking, ficiel (comme l’énigme des symboles dans comme beaucoup de choses, il faut savoir Galerians) et partant, pénible... 38    PixaRom magazine