Tests
M
auvais calcul de l’Agence : 47
aimait trop Diana pour obéir à
la lettre et décide de lui accorder ses derniers vœux. Il va donc protéger
la fillette.
C’est là qu’intervient l’aspect Tarantino de
l’histoire et parfois, on aura un peu de Bay.
Le personnage va ainsi tout perdre : il devra
se débarrasser de son équipement et de ses
routines. Il devra même abandonner ses
Silver Ballers, ses armes fétiches surpuissantes. Il devra composer avec ce qui lui reste :
son instinct et ses facultés propres. Il rencontrera des ennemis et alliés assez clichés
pour le coup, ce qui au moins leur donne
une personnalité contrairement aux anciens opus où même une menace principale
n’éveille pas trop l’intérêt du scénariste.
Les PNJ de Hitman Absolution sont donc
assez stéréotypés, on a l’homme assoiffé
de pognon et de pouvoir, le mâle alpha qui
obéit au doigt et à l’œil, la femme
fatale qui n’a comme atout que
sa plastique ou bien le sheriff élu
parce qu’il est le pote du mec qui
distribue l’emploi dans le coin.
Le plus gros travail au niveau
du personnage s’est donc centré
sur 47.
Si dans les anciens opus, le
personnage a toujours été un «
salopard éthique » sans que ce
soit montré concrètement à part
dans de rares occasions (pour
‘’Ah mince ! Dire que l’on me voit enfin à
savoir ce qu’est un salopard l’écran…’’
éthique, je vous invite à lire mon
autre article en parlant un peu plus loin)
aura de mort et de puissance écrasante. Ce
dans Hitman 2.
n’est pas seulement un tueur, et beaucoup
Mais ici, plus que jam