Tests
Il faut avouer aussi que le fan moyen cherche
souvent à ressembler à son idole.
Le fan moyen de 47 est donc régulièrement à
l’image de celui-ci et le débat est généralement
difficile.
Hitman Absolution
Ou le drastique changement d'univers et de ton
Si dans les anciens Hitman, on avait souvent un ton se rapprochant de l’espionnage avec une touche de science-fiction, avec tous
les délires qui vont avec - les petits gadgets qui ne servent qu’une fois ou deux, un hér… personnage principal toujours propre sur
lui, des intrigues plus ou moins politiques (seulement dans Blood Money, mais ça compte), des méchants œuvrant dans l’ombre (avec
groupuscule à la SPECTRE en option) et manipulation visant à assassiner des personnes très importantes...
Dans Hitman Absolution, rien de tout cela. On a juste gardé les manipulations génétiques et quelques groupuscules, mais rien de
bien Bondien là-dedans. Ici, on est plutôt dans le film noir à la sauce TarantinoBay.
L’histoire démarre lorsque l’Agence est reformée. Celle-ci accuse aussitôt sec Diana, l’agent de liaison de 47 d’avoir provoqué la
chute que l’on a connue dans Blood Money et qu’en plus celle-ci aurait enlevé une fillette. L’Agence veut récupérer la fillette et tuer
Diana… et pour ça, ils envoient 47.
24 PixaRom magazine