plus en plus immersifs . Pendant que les parents se demandent comment ralentir ensemble , ce rapport plus artificiel avec la nature amène son lot de conséquences , dénoncées par les artistes de toutes disciplines .
Pronostics sombres contre courant technologique
En première ligne dans la défense de la planète , contre la surproduction de déchets , se trouve la troupe de Théâtre I . N . K . Ses acteurs se sont retroussé les manches afin d ’ illustrer les résultats d ’ une étude sur le zéro déchet réalisée par Polytechnique Montréal et Équiterre , en créant une œuvre visuelle à l ’ ambiance apocalyptique , qui associe vidéos et scénographies , à la Biosphère du parc Jean-Drapeau . L ’ exposition ouvre ses portes tous les jours , mais s ’ il faut choisir une date pour aller marier science et plein air au parc , pourquoi pas le 2 mars ? Tous les premiers samedis du mois , on y présente une activité révélant les dessous de la production d ’ une activité , dans une dynamique adaptée aux familles . Le même sentiment d ’ urgence pour la cause écologique et le risque de disparition de notre espèce et de bien d ’ autres est transmis aux visiteurs de 10 ans et plus par le guide du vaste établissement d ’ Age of union . Ces sombres constats sont néanmoins contrebalancés par le recours aux projections lumineuses et immersives .
L ’ art de la projection est maîtrisé depuis longtemps par les concepteurs de projets du Planétarium , qui l ’ utilisent cette fois-ci pour démystifier les éclipses solaires . Parallèlement à ces projections à grand déploiement , on parle d ’ économie d ’ énergie aux 8 ans et plus , au Centre d ’ interprétation de l ’ eau de Laval . On aborde ce sujet ainsi que plusieurs autres