pas dire qu’il faut nourrir son enfant avec du poisson
à 2 mois, mais à 4 ou 5 mois, quand l’enfant voit
les adultes mâcher et veut les imiter, on peut lui en
mettre un peu sur le bout de la langue. » liquide ou en contact direct avec la paroi. Afin de
contourner le problème, les commerces en vrac, de
plus en plus populaires, permettent de donner une
seconde vie aux bons vieux « Pots Mason ».
• S’emballer différemment • Appliquer le principe de
précaution… à la peau
Que le produit soit issu de la culture biologique ou
conventionnelle, il peut continuer à être contaminé
par les produits dans lesquels il est contenu ou
chauffé, la lumière et la chaleur augmentant la
détérioration des emballages, surtout s’ils les
touchent directement : « Ce n’est pas seulement
un problème de micro-ondes, mais plutôt le fait
de chauffer les aliments dans du plastique, parce
que des substances se dégagent assez facilement
du plastique et vont contaminer l’aliment. Mais les
biberons en verre existent et maintenant on peut
en acheter qu’il est pratiquement impossible de
casser » suggère Larissa Takser. À moindre intensité,
la luminosité et la chaleur quotidienne contribuent
aussi à la détérioration pouvant affecter son contenu,
alimentaire ou cosmétique, surtout si celui-ci est
Quoi de plus naturel que de vouloir prendre soin
de soi durant la grossesse et de la douce peau de
votre bébé ? Mais attention, la peau absorbe à sa
manière, et celle du bébé encore plus que celle de
la maman, alors dans le doute, ou plutôt, si l’on
peut s’en passer, il vaut mieux éviter les parfums,
huiles essentielles ou autres composantes quasi
omniprésents servant à assurer la stabilité et la belle
consistance des produits dermatologiques : « Cela
peut entraîner des réactions chez les jeunes enfants
qui sont en train de former leur système immunitaire.
Les huiles essentielles sont très allergènes. Les
femmes enceintes se crèment aussi, parfois sans se
demander pourquoi. Les huiles d’olive ou d’amande
qui sont utilisées dans les pays arabes depuis des