-en cas d’implants multiples, la dépose du bridge peut être
nécessaire au diagnostic, si le cone beam est impossible ou
imagerie
insuffisant.
Fig. 27 Péri-implantite sur ciment de scellement (flèche rouge). Plus de 6
spires exposées en 2004, et moins de 3 spires en 2014.
Fig. 29 a.Au panoramique, non ostéointégration de l’implant 45. Aspect
normal de l’implant 46. b à e. Implantation linguale et fracture corticale de
l’implant de 46.
Fig. 28 Péri-implantites multiples en 46, 33, 34 et 36. Granulome de 43 à
traiter.
• Le cone beam permet au moindre doute:
1/ d’évaluer la perte osseuse en trois dimensions, précisant
- le nombre de murs résiduels,
- ainsi que la morphologie du défaut, le nombre réel de spires
Fig. 29f Désostéointégration plutôt que péri-implantite sur lame de Linkow
gauche.
exposées si un doute subsiste après les RA
- et ses rapports avec les piliers adjacents, les corticales (Fig. 29b,
31) et les obstacles anatomiques;
2/ de préciser l’éventualité d’un site parodontal et/ou endodontique mal contrôlé, pouvant passer inaperçu sur les clichés standard, un implant pouvant être contaminé par translocation basctérienne à partir d’un site endoparodontale infecté;
3/ d’éliminer, si les RA ne sont pas suffisantes :
- la désostéointégration (F Yˌ