Colloque Julius Koma COLLOQUE corrigé le 4 juin 2017 | Page 43
Jean-Pierre Denefve :
On m’a demandé d’identifier dans la salle ceux qui participent au projet artistique. Il y a Emeline
Duval qui est là et qui a fait imprimer une gravure offerte aux participants du colloque. Francis
Feidler bien sûr qui est aussi co-directeur honoraire de l’IKOB mais aussi artiste. Alan Tex, Lisette
Delooz. Alain Breyer aujourd’hui présent comme photographe de la manifestation. Mais nous
sommes une quinzaine constituant l’équipe artistique qui travaillera pendant toute l’année sur des
événements liés à des dates clés de la vie de Julius Koch : la date d’anniversaire de sa naissance
de son décès, la fête nationale Suisse, la saint Constantin, la saint Jules et ainsi de suite. Toutes
ces dates seront l’objet d’événements, dans la ville et là où nous avons retrouvé les traces de
Julius Koch.
Nous allons continuer avec l’intervention de Fréderic Soumois.
Frédéric Soumois, deux mots pour t’accueillir.
J’écris de temps en temps, j’avais écrit un texte qui racontait l’histoire de mes premiers morts et
rencontres avec les premiers morts. Dans ce cadre, j’évoque la momie de Rascar Capac . Ça vous
dit quelque chose Rascar Capac ? Nous nous sommes rencontrés peut-être à la fin de la lecture
du dossier Tintin puisqu’avant d’être journaliste pour la rubrique santé-médecine du Soir, tu as été
et tu es toujours je pense, un brillant tintinophile et donc juste pour te dire que je l’ai ce livre,
introuvable, y compris sur les étals des bouquinistes parisiens de deuxième main, « tiens-tiens
c’est bien intéressant », c’est « la bulle » qui figure sur la couverture.
Jacky va te donner la parole pour cette intervention de l’après-midi.
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