LA SOPHROLOGIE
DE
L'APPRENTI
Comment et pourquoi avons nous décidé de nous former en sophrologie ?
Ce mois-ci dans notre rubrique La Sophrologie de l’Apprenti, nous nous sommes intéressés à la formation en sophrologie d’un point de vue pratique. Nous avons interrogé étudiants en formation ainsi que sophrologues sur ce qui avait motivé leur choix de se former à la sophrologie, et sur les critères qui avaient retenu leur attention pour sélectionner un centre de formation.
Pourquoi avoir choisi de se former à la sophrologie ?
Pour un certain nombre d’entre eux, nous avons pu constater que la vocation de sophrologue était née par la pratique ! En effet, ayant expérimenté la sophrologie dans leur vie personnelle, ils ont été totalement séduits par cette discipline et sa philosophie, au point de l’envisager comme activité professionnelle.
Pour d’autres, souvent en reconversion professionnelle, le désir d’être plus en lien avec les gens, d’exercer une profession fortement axée sur l’humain, et de pouvoir enseigner des techniques aisément réutilisables dans le quotidien afin d’améliorer la qualité de vie, ont été le déclic. Beaucoup d’étudiants sophrologues ont en effet exercé un premier métier et l’envie de retrouver du sens, au travers de la relation à l’Autre, est un puissant moteur de reconversion, qui les a naturellement poussés vers la sophrologie. Parfois aussi, c’est un complément à leur activité initiale, permettant d’approfondir et/ou de renforcer leurs compétences dans le domaine (au sens large) de l’accompagnement à la personne.
D’autant que pour la plupart de nos interviewés, la sophrologie répondait aux attentes de pratiquer une activité fondée sur le lien entre le corps et l’esprit, de se tourner vers une approche réconciliant le corps, le mental et les émotions. Cela a parfois été déterminant pour privilégier la sophrologie, à toute autre formation apparentée au développement personnel et au bien-être.
Enfin, un autre critère de choix pris en compte, a été le fait de s’orienter vers une formation qui ne soit pas trop longue ( même si elle représente un nombre d’heures somme toute important pour être sérieuse et valable), afin de pouvoir être suivie en parallèle ou en complément d’une autre activité professionnelle.