A COUPER LE SOUFFLE PDF GRATUIT MICHAEL WEBB | Page 18

une coupure ou une lacération microscopique due à la brosse à dents, et vous ne remarquerez peut-être pas une griffure sur le sexe de votre partenaire, mais les virus les verront ! Pour le bien de vous deux, si vous avez le moindre doute sur l'état de santé de l'autre, pratiquez le safe-sex oral ! Hépatite A et B. Ces maladies sont un petit peu moins sérieuses que le SIDA et l'Hépatite C parce que des vaccins et des traitements existent. Mais elles n'en restent pas moins dangereuses, alors des précautions devront être prises lors de la fellation pour éviter la contamination. L'Hépatite B se contracte par les mêmes sécrétions que le virus HIV : fluides vaginaux, sperme, lait maternel. L'Hépatite A est seulement transmissible par contact oral avec des matières fécales, il faut donc rester prudent si vous envisagez d'aller au contact de l'anus de votre partenaire. Le risque de transmission de l'Hépatite A ou B au partenaire passif est bas, mais il est important de prendre des précautions si vous ignorez l'état de contamination du partenaire actif. Plus généralement, le safe-sex aide à prévenir la contamination par l'Hépatite A et B ainsi que les autres MST. Herpès genital ou buccal. C’est probablement la MST la plus fréquemment transmise par contact bucco-génital. C’est la raison pour laquelle il existe deux types d’herpès : buccal et génital. Cela ne signifie pas que l’herpès buccal ne se transmet que de bouche à bouche et l’herpès génital par contact sexuel. Une personne avec une éruption herpétique buccale peut transmettre le virus à son partenaire de sa bouche vers son pénis lors de la fellation. Et inversement, le virus peut se transmettre dans le sens pénis-bouche Bien que ces formes d’herpès ne puissent se transmettre en l’absence d’une plaie ou d’une éruption (un bouton de fièvre, des pustules ou des vésicules), cela ne signifie pas que cette MST doive être prise à la légère si le partenaire contaminé n’a pas d’éruption. La maladie doit être considérée avec le même sérieux que l’Hépatite C ou le SIDA dans la