A COUPER LE SOUFFLE PDF GRATUIT MICHAEL WEBB | Page 19

mesure où il n’existe pas de remède contre elle. Une personne infectée sera porteuse du virus à vie, et aura la possibilité de le transmettre à chacun de ses partenaires sexuels tout au long de sa vie. Malheureusement, l’herpès buccal ou génital est particulièrement facile à répandre. Si vous remarquez des vésicules ou des pustules sur le pénis ou la zone génitale (y compris la zone pubienne et le scrotum), arrêtez immédiatement toute activité sexuelle. De la même façon, il n’est pas sage de se pratiquer la fellation si l’un des partenaires déclare un herpès. Il n’est pas possible de se protéger de cette MST en pratiquant le safe-sex dans la mesure où l’herpès ne se limite pas aux zones protégées par un préservatif. La seule solution est d’être vigilant, et de faire des tests de dépistage. Verrues génitales (condylomes, papillomavirus). Cette MST se contracte de la même façon que l’herpès génital et peut également apparaître dans la zone buccale, ce qui en fait une maladie sérieuse et hautement contagieuse lorsqu’il s’agit de sexe oral. Appliquez les mêmes précautions que dans le cas de l’herpès : aucune pratique orale avec un partenaire présentant les symptômes verruqueux de petites pustules blanches à l’aspect de chou-fleur. En outre, une personne peut fort bien être porteur sain, c’est-à-dire porter le papillomavirus sans présenter de verrues génitales. Mais cette personne reste contagieuse lors de tout contact avec ses muqueuses. C’est la raison de l’importance de la fidélité sexuelle et des tests de dépistage. Bien des gens sont contaminés sans le savoir, puisqu’ils ne présentent aucun symptômes. Dans ce cas également, en cas de doute, pratiquez le safe-sex. Infections bactériennes (Chlamydiae, Gonorrhée et Syphilis). bien que, traitées à temps, les infections bactériennes peuvent être guéries notamment au moyen d’antibiotiques, ce n’est pas une raison pour les prendre à la légère. Lors d’une fellation, le partenaire actif est le plus exposé aux risques puisque ces infections se développent souvent sur les membranes muqueuses souples, chaudes, humides et à l’abri de la