entraina une considération du corps du malade lors de
son traitement d’une façon indépendante de son esprit.
Désormais, ce dualisme a été troqué contre le
monisme moderne. Le monisme, contrairement à son
homologue, considère le malade comme étant une
personne humaine avec des aspects biologiques et
psychologiques en interactions, d’où l’importance de la
prise en charge psychologique.
La relation médecin malade est souvent régie par des
aspects scientifiques et techniques. Cette technicité
représente, certes, une base du corpus de connaissances
scientifiques, mais aussi un masque pour échapper à la
relation psychologique.
Ayant le rôle d’un tiers compétent, neutre et étayant,
le médecin doit accorder de l’importance à son rôle
psychologique qui s’avère être passionnant si maitrisé.
Références bibliographiques :
• La maladie entre illness et disease ; quelle
conception de la maladie pour quelle santé ? de
Philippe Svandra – philosophie ch
• Psychologie médicale, Pr Marie Cardine, université
Claude Bernard Lyon.
• Bases psychopathologiques de la psychologie
médicale – collège national des universitaires en
psychiatrie- CHU Angers- M. Escandre.
• Dictionnaire de la psychiatrie – Pierre Tuillet – CILF
édition – juin 2000.
• Psychologie médicale – Pr : Angelique Bonnaud
Antignac – Université numérique francophone des
sciences de la santé et du sport unf3s.
ReMed Magazine - Numéro 7/8
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