BOUILLON DE PIXELS
1. Les jeux vidéo ont toujours été un truc de mecs
C’est un fait indéniable : le jeu vidéo est
un divertissement réservé uniquement au
public masculin et cette règle existe depuis
la création du jeu vidéo ! Par exemple, les
premières consoles de salon avaient comme
type de slogan Du plaisir pour toute la famille
et nous savons tous que par famille, les publicitaires veulent dire tous les membres de la
famille de sexe masculin, ça coule de source.
Les membres de sexe féminin n’ont qu’à se
défouler dans la cuisine, elles n’ont que ça à
faire ! Ah ! Ce ne sera pas une meuf qui me
dira que les jeux vidéo sont aussi ouverts au
grand public que les jeux de carte même si
on parle du même type de divertissement.
2. Le public féminin ne fait
que rendre les jeux plus faciles ou moins bons
Vous pensiez que c’était les très jeunes
joueurs colériques qui ont forcés les grosses
productions à rendre leurs FPS sans challenge et sans âme ? Eh bien non ! Ce sont les
femmes ! Et les classiques comme Mario ?
Vous pensiez que c’était le public casual qui
a rendu les derniers jeux aussi faciles qu’une
rédaction de CP ? Eh bien non ! C’est toujours ces maudites femmes ! Qu’on arrête de
dénoncer un public approprié à tel problème
vidéo-ludique quand ce sont facilement les
femmes qui peuvent être fautives. Je me
souviens de ma première réaction lors de
l’annonce des fonctionnalités de la Xbox One
: « Bon sang, la gente féminine a encore fait
des siennes ! »
3. Les jeux visant le public
féminin sont pourris
Barbie par-ci, salon de maquillage par-là,
il faut pas s’étonner qu’il y ait des mauvaises
adaptations quand le média de base est déjà
minable. Nous les mecs, on a le mérite d’avoir
des adaptations de très bonne qualité avec
Goldeneye 007 et la série Batman Arkham
même si ces franchises ne visent pas exclusivement le public masculin. Et puis, ce
n’est pas comme si le public féminin n’avait
jamais voulu ces adaptations ridicules et que
les studios de développement auraient pu
économiser de l’argent en évitant des faire
ces jeux inutiles.
4. Les héroïnes de jeux
vidéo n’ont aucune originalité
n’arrête pas de marmonner sur son passé.
Princesse Peach et Zelda ? Des stupides
demoiselles en détresse qui ne demandent
qu’à être enlevé par n’importe quel méchant.
Du côté héro, par contre, on a des vrais personnages charismatiques comme Max Payne
! Une pâle copie de Canardo en version
humaine qui n’arrête pas de marmonner
sur son passé. Ou alors Jonathan Drake ! Un
faux Indiana Jones qui se permet de faire des
génocides en Amérique du sud pour le bien
d’un trésor secret. Et qu’on ne me parle pas
d’April Ryan ou The Boss. Ces personnages
ringards n’ont pas leur plac R&֒