Malaki ma Kongo à Pisa Malaki ma Kongo à Pisa 2018 | Page 3
de cette exposition que nous voulons organiser en hommage à ce continent originel de l’humanité. A
notre grande surprise des hommes et des femmes se sont prétés à ce jeu et meme un musée nous a
apporté les oeuvres d’arts simples, et
d’autres qui étaient chargées (donc
des fetiches). L’exposition était une
merveille. Et nous l’avons dénommée
“Danse des Sorciers” simplement
parce que comme le dit Albert E. toute
chose emmet des frequences, des
vibrations, meme les morts n’en sont
pas épargniés. Cela sous entend que
quand vous mettez des statuettes, des
feuilles, des “gris-gris” ensemble, il
peut se passer de la communication
que nous ne sommes pas en grade
de maitriser; mais ce n’est pas parce
que nous n’arrivons pas à décoder un
message, que le fait n’a pas eu lieu?
Comme en 2001 en Italie, le public de
Pisa était autant émerveillé.
Ouakatoulou, Sandra Capuzzi
A 16h30mn Masengo ma Mbongolo nous a présenté une conférence intitulé “Coopération culturelle Sud-
Sud /Congo-Haïti : Thème : Quinze ans de présence de Malaki ma Kongo en Haïti).
Il a commencé a dire que la coopération est une opération exécutée simultanement par deux partenaires.
Cette opération revet un caractère binational ou international quand il engage deux ou plusieurs Nations.
Mais il existe aussi une coopération réalisée par des individus ou des groupes d’individus de deux
ou plusieurs Natiens différentes, pour règler une situation particulière. Cela s’appelle la coopération
décentralisée. Et ce qui différencie la coopération internationale de la coopération décentralisée est le
fait que l’un est fait par les Etat et l’autre par les individus. Et si les premiers donc les Etats ne vivent que
d’interets, les autres, les humains sont plutot animés par des sentiments de coeur : relations amicales,
échanges de produits multiformes, histoire, etc...
Et cela a permis à l’orateur du jour de nous parler de son choix sur Haïti et de ce qu’il a fait dans ce pays
magique et impossible?
Masengo dit que ce n’est pas lui qui a choisi Haïti mais plutot le contraire. Son programme de voyage était
destiné à rendre la monnaie aux guadeloupéens Massembo Marie France, Benzo Benjamin Moïse, Bébé
Ronspart, Gabali Jocelyn. Etant en vacance en France, c’est en ce moment qu’il s’est rendu compte qu’on
lui exigeait un visa pour visiter ce “Territoires d’Outre Mer” qui est la Guadeloupe, et qu’il devait revenir en
Italie (son pays de résidence) pour prendre ce visa. Malheureusement le Consulat de France à Milan était
en fete, qu’il a décider d’aller visiter un autre pays des Caraibes. Donc deux jours avant d’atterrir à Port au
Prince il ne savait pas qu’il irait en Haïti. Et depuis le 29 octobre 2002, un long parcours de chemin a été
fait. “75% de la population haïtienne est originaire des terres Kongo suivant les archives”, a dit le Professeur
Philips Lerebours, Directeur du Musée de l’Art Haïtien. Cette phrase prononcé le deuxième jour de son
arrivée en Haïti, lui a ouvert les yeux su ce que j’étais allé cherché dans ce pays. En Haïti il a été formé et
il a formé aussi des gens. De 2006 à 2011 il intervenait régulièrement à l’Emission Kiltir Kreyol , animée
par son ami Samba’L pour parler des racines de la culture africaine. Il a participé a beaucoup d’échanges,
N otre soeur Brigit
et
son frere Ndemba
L’une moralise sur la condition de la femme Noire et l’autre invite
à ouvrir les yeux sur le genre de démocratie qu’il faut pour l’Afrique.