Magazine - Logic Immo - Bruxelles, Brabant & Namur 573 | Page 35

35 beaucoup plus élevé qu’un bien existant, surtout si l’on y intègre les frais d’entretien et les charges énergétiques mensuelles. Aujourd’hui, les constructions neuves offrent vraiment un confort global qui assure l’investisseur d’acquérir un bien de haute qualité et dont le PEB est performant, ce qui a bien sûr un impact très favorable sur les factures d’énergie qui n’ont cessé d’augmenter ces dernières années et pour lesquels on devrait s’attendre, en principe, à d’autres augmentations à l’avenir. Les systèmes de ventilation à récupération de chaleur ainsi que l’évolution du rendement des chaudières participent aussi des performances générales offertes et qui, additionnées d’autres avantages comme la garantie décennale et celle du parfait achèvement du logement, créent une tranquillité d’esprit pour minimum 15 ans. Un bien neuf apparaît ainsi nettement mieux armé pour faire face à un marché locatif exigeant. Il engendre aussi de meilleurs loyers, ne génère que très peu de vide locatif et s’avère nettement moins cher en coût d’occupation. A cela s’ajoute les frais de copropriété qui sont quasi inexistants pour une période de 15 ans. La rentabilité d’un bien neuf va donc davantage perdurer dans le temps. A moyen terme, l’immobilier neuf est donc financièrement plus avantageux, pour l’investisseur comme pour le propriétaire occupant. Des besoins croissants, des coûts d’occupation faibles et une rentabilité correcte et durable : voilà résumées les belles perspectives qu’apporte l’immobilier neuf aux investisseurs. L.I. A quoi peut-on encore s’attendre aujourd’hui en termes de rendement ? Actuellement, les prix de l’immobilier en Belgique suivent globalement l’évolution de l’inflation, et ce devrait être encore le cas à l’avenir. S’agissant d’un bien neuf à Waterloo ou à Braine-L’Alleud, par exemple, on peut ainsi s’attendre à obtenir un rendement net entre 2 et 4 % net selon la surface, la « De meilleurs loyers, très peu de vide locatif et un faible coût d’occupation : un bien neuf s’avère nettement mieux armé pour faire face à un marché locatif exigeant. » localisation et les prestations, ce qui s’avère plus que correct pour un investissement à très faible risque, puisque le vide locatif ou la présence d’un locataire « à risque » est toujours à envisager. Ce pourcentage se base sur 10,5 mois de loyer dont il faut bien entendu déduire les frais. L.I. Quel serait votre choix personnel d’investissement ? S’agissant d’un investissement pur, mon choix personnel serait clairement celui d’un appartement neuf de 1 ou 2 chambres, d’une superficie inférieure à 100 m2, et localisé au mieux à proximité de transports en commun, d’écoles et de facilités en matière de commerces et de services. Et en termes de rendement, à titre comparatif, un appartement 2 chambres à Waterloo engendrera une rentabilité quasi équivalente qu’à Braine-l’Alleud ou même Nivelles, par exemple. Par Stephan Debusschere