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Kraemer news
Tout l'enthousiasme de l'équipe artistique du groupe lors de son
séminaire en Roumanie
Par Emmanuel Abela
Photos : Équipes Kraemer
L'ouverture d'un premier salon à Istanbul,
un événement !
Le glamour au service d'une
bonne cause
Le séminaire
“Professional Secrets en Roumanie” À la porte de l’Orient Pour le petit Marius
Le savoir-faire Kraemer s’exporte depuis
quelques années, que ce soit dans
des salons, mais aussi sous la forme
de shows, ou encore à l’occasion de
séminaires auxquels sont conviés les
équipes du groupe, comme ce fut le cas
à Bucarest au cours de l’hiver dernier.
Pas moins de 250 coiffeurs ont pu
suivre une formation dispensée par les
équipes techniques du groupe . Yannick
Kraemer était présent, ainsi que des
membres de sa direction artistique. Les
participants ont également pu apprécier
l’intervention du psychosociologue
Patrice Kucharz, qui leur a exposé avec
l’enthousiasme qu’on lui connaît, toutes
les règles qui permettent de valoriser la
relation qu’on entretient à la clientèle.
L’ambiance était studieuse, mais
décontractée, pour des démonstrations
de qualité internationale. Un premier salon Luis Kraemer a été
inauguré en Turquie, sur la prestigieuse
avenue de Bagdad (Bagdat Caddesi), à
Istantbul. La présence du groupe dans
cette ville hautement historique ouvre
de nouvelles portes pour des échanges
fructueux entre Occident et Orient.
Cette ouverture confirme la dynamique
qui permet au groupe d’affirmer sa
présence dans 8 pays (France, Chine,
Thaïlande, Maroc, Canada, Suisse,
Allemagne et Turquie), sur 4 continents
(Europe, Asie, Afrique et Amérique du
Nord). En décembre dernier, le salon LK à la
Maison de la Beauté, a Vendenheim,
a organisé un défilé de mode au profit
de l’association Bouge avec moi, créée
pour mettre en place une méthode
de rééducation fonctionnelle qui
permettra au petit Marius, 4 ans, atteint
d’une maladie orpheline, d’être plus
autonome.
Retrouvez toutes les actus du groupe
Kraemer sur le site
www.groupekraemer.com
et sur le profil Facebook
Luis Kraemer International
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Un nouveau salon LK
à Bischheim
Chez Luis Kraemer, l’ouverture d’un
salon est toujours un événement. Plus
grand, plus spacieux, le nouveau salon
LK, route de Bischwiller, à Bischheim,
s’appuie sur une décoration design
et baroque pour exprimer toute
la créativité de l’équipe qui vous y
accueillera pour de sublimes instants
de détente, de bien-être et de volupté.
50, route de Bischwiller à Bischheim
03 88 33 33 63
La maison de la beauté :
7 rue des Artisans, à Vendenheim
03 88 20 12 02
L’association Bouge avec moi :
http://bouge.avec.moi.free.fr
Adriana Karembeu, lors d’une visite à la maison d’arrêt de Strasbourg, s’est dite très
touchée par l’initiative de la Croix Rouge et des salons Kraemer.
Moment de détente partagé avec M. Mattei lors de
l'inauguration du salon.
Instants de Liberté
“Je vois les filles
sourire et prendre du
plaisir. Manifestement,
c'est un instant
privilégié.”
Une fois par mois, les équipes
des salons Kraemer se
rendent à la maison d’arrêt
de Strasbourg pour couper
les cheveux des femmes
incarcérées. De cette belle
opération initiée par la Croix
Rouge naissent de vrais
instants d’échange et de
liberté.
Il y a deux ans de cela, Armand Perego,
le président du comité départemental de
la Croix Rouge du Bas-Rhin a souhaité
l’ouverture d’un salon de coiffure après
avoir découvert dans l’enceinte de la
maison d’arrêt de Strasbourg l’existence
d’un local vide qui avait déjà servi de
salon par le passé. La rencontre avec
Yannick Kraemer a été déterminante
et depuis, les collaborateurs et
collaboratrices de ses salons viennent
couper bénévolement et gratuitement,
un lundi par mois, les cheveux des
femmes incarcérées.
M. Perego insiste sur l’importance de
restaurer leur image, de faire entrer
ces instants de vie à l’intérieur de la
prison et de permettre à ces femmes
de reconstruire « l’estime de soi par
la coiffure. » Il nous rapporte : « Je
les vois sourire et prendre du plaisir.
Manifestement, c’est un instant
privilégié. » C’est ce que confirment,
les coiffeuses et coiffeurs des salons
Yannick Kraemer. « Les filles nous
reconnaissent, elles sont contentes de
nous revoir. Une relation s’installe. Elles
ont le sentiment d’avoir un moment pour
elles, on leur consacre du temps. Du coup,
elles parlent spontanément d’elles, de
leurs familles, de leurs enfants, ce qui est
parfois très émouvant. On le voit à leur
visage, elles sont contentes et nous, ça
nous fait vraiment plaisir. »
Souriantes et détendues, les détenues
n’en restent pas moins exigeantes quant
à la coupe et la longueur des cheveux.
Elles semblent même assez unanimes,
il s’agit bien de coiffer, mais non pas de
couper. « Même si elles ont tendance à
remonter leurs cheveux et à se dégager
elles-mêmes le visage, elles ne souhaitent
pas qu’on leur coupe les cheveux. On le
voit bien, elles les cherchent, elles les
touchent, elles ont besoin de sentir qu’il y
a du volume. Pour elles, ils correspondent
à une forme de liberté. »