Magazine Kraemer KRAEMER MAGAZINE 04 | Page 41

41 ———— ———— Vincent Berenguer Kraemer Bangkok (Thaïlande) 1. La notion de défi m’a séduit dans le concept : implanter un salon franchisé à Bangkok répondait à mon envie de trans- mettre le style et les tendances des coif- fures européennes. 2. La liberté accordée aussi bien dans le domaine artistique que dans la décora- tion des salons, est une base essentielle au développement. Le salon de Bangkok par exemple possède un espace beauté et esthétique, mais aussi un coin massage et fish spa ! 3. Étant à l’étranger, Yannick Kraemer fait le nécessaire pour que je puisse en bénéfi- cier quand même. Je pense que mon sa- voir-faire, mêlé à la créativité du groupe, permettra de créer un nouveau label du groupe en Thaïlande. 4. Aujourd’hui, il semble encore trop tôt pour identifier tous les avantages de ce projet. Toutefois, en adhérant à un groupe reconnu sur le plan international, j’ai pu m’appuyer sur sa renommée pour réunir ma clientèle à Bangkok. Le groupe prodigue de très bons conseils, autant sur le plan artistique qu’en termes de com- munication, ce qui représente un atout de taille dans la réalisation de ce projet. ———— ———— Lola Contreras Kraemer Murcia (Espagne) 1. Le concept de franchise Kraemer est nou- veau en Espagne. Nous avions du mal à trouver une enseigne avec des supports de développement commerciaux adap- tés. Du coup, j’ai tout de suite voulu me lancer dans l’aventure ! 2. Pour le moment, l’enseigne Kraemer Pa- ris suscite à elle seule la curiosité de la clientèle. Les clientes se montrent très curieuses et posent beaucoup de ques- tions, c’est bon signe. Les réponses, nous leur apportons en soignant la décoration et le niveau de prestation. 3. Être suivi sur les techniques de travail et la gestion professionnelle est très important dans notre domaine. En tant que membre d’un groupe international, je me sens plus en confiance et plus soutenue, ce qui me rassure notamment par rapport au développement de mon entreprise. 4. Nous bénéficions de la renommée d’une enseigne française qui se développe à l’in- ternational. Les clientes y sont sensibles, ce qui est prometteur pour la suite.  “ Tout comme Yannick Kraemer répond à mes aspirations et me permettra d’évoluer, je cherche à sublimer le nom de Kraemer à l’étranger. ” ———— ———— Pascale Sonzogni Kraemer Sion (Suisse) ———— ———— Lak Ngovinassack Kraemer Marrakech (Maroc) 1. Je connais Yannick Kraemer depuis très longtemps, c’était déjà un ami quand je me suis lancée dans l’aventure à l’étran- ger. Nous avions déjà ouvert trois salons à Dijon. Le projet était dynamique et jeune, ça m’a séduit spontanément. 2. La grande liberté laissée aux gérants des salons a motivé mon choix. Dans mon salon actuel, je privilégie des couleurs très sobres pour une ambiance chic : un thème qui me ressemble et dans lequel je me sens bien. 3. En implantant mon salon Kraemer au Maroc, j’ai dû m’adapter à la structure du cheveu marocain, bouclé, épais et sombre. La formation permet d’adapter nos techniques de coiffure à des clien- tèles ciblées. 4. J’ai remarqué au fil de mes sept années de travail ici qu’avec Internet, mes clientes marocaines se montrent très intéressés par la mode européenne, les coupes lisses et les couleurs claires comme le blond. Après, il faut savoir qu’en dehors de ces Marocaines qui veulent adopter une coupe « européenne », notre clien- tèle est constituée de beaucoup d’Euro- péens vivant au Maroc. 1. Ce qui m’a attirée dans le groupe Krae- mer, c’est la notion de qualité, d’ambi- tion, mais surtout la dimension aussi bien artistique qu’humaine ! 2. Ce qui me plait c’est l’idée de permettre à chacun des salon de garder son identité. Ayant vécu l’expérience d’une grande marque où tout semblait aseptisé et sans âme, je m’investis d’autant plus dans mon salon. J’y développe beaucoup le service maquillage, et je marie les visuels du groupe avec des photographies que je réalise, ce qui me permet de dynamiser au maximum mes vitrines. 3. Rejoindre le groupe a été comme re- joindre une famille, réunie par une pas- sion commune pour la coiffure ! De plus, la formation proposée répond à mes aspirations, car les techniques enseignées sont celles que je privilégie aujourd’hui encore  ! C’est une chance d’échanger avec des professionnels de grande expé- rience ; il est très enrichissant de pouvoir rencontrer des collègues de différents pays avec des clientèles différentes. 4. Quand mes clientes découvrent le concept global, elles manifestent beau- coup d’intérêt. Mon rêve ultime serait de faire de mon salon LE salon leader de ma ville  ! Il a une très belle réputation, mais je lui souhaite encore mieux ! Quant à ce que je peux apporter au groupe  : une porte ouverte dans mon pays. Tout comme Yannick Kraemer répond à mes aspirations et me permettra d’évoluer, je cherche à sublimer le nom de Kraemer à l’étranger.