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Vincent Berenguer
Kraemer Bangkok (Thaïlande)
1.
La notion de défi m’a séduit dans le
concept : implanter un salon franchisé à
Bangkok répondait à mon envie de trans-
mettre le style et les tendances des coif-
fures européennes.
2.
La liberté accordée aussi bien dans le
domaine artistique que dans la décora-
tion des salons, est une base essentielle
au développement. Le salon de Bangkok
par exemple possède un espace beauté et
esthétique, mais aussi un coin massage et
fish spa !
3.
Étant à l’étranger, Yannick Kraemer fait le
nécessaire pour que je puisse en bénéfi-
cier quand même. Je pense que mon sa-
voir-faire, mêlé à la créativité du groupe,
permettra de créer un nouveau label du
groupe en Thaïlande.
4.
Aujourd’hui, il semble encore trop tôt
pour identifier tous les avantages de
ce projet. Toutefois, en adhérant à un
groupe reconnu sur le plan international,
j’ai pu m’appuyer sur sa renommée pour
réunir ma clientèle à Bangkok. Le groupe
prodigue de très bons conseils, autant sur
le plan artistique qu’en termes de com-
munication, ce qui représente un atout
de taille dans la réalisation de ce projet.
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Lola Contreras
Kraemer Murcia (Espagne)
1.
Le concept de franchise Kraemer est nou-
veau en Espagne. Nous avions du mal à
trouver une enseigne avec des supports
de développement commerciaux adap-
tés. Du coup, j’ai tout de suite voulu me
lancer dans l’aventure !
2.
Pour le moment, l’enseigne Kraemer Pa-
ris suscite à elle seule la curiosité de la
clientèle. Les clientes se montrent très
curieuses et posent beaucoup de ques-
tions, c’est bon signe. Les réponses, nous
leur apportons en soignant la décoration
et le niveau de prestation.
3.
Être suivi sur les techniques de travail
et la gestion professionnelle est très
important dans notre domaine. En tant
que membre d’un groupe international,
je me sens plus en confiance et plus
soutenue, ce qui me rassure notamment
par rapport au développement de mon
entreprise.
4.
Nous bénéficions de la renommée d’une
enseigne française qui se développe à l’in-
ternational. Les clientes y sont sensibles,
ce qui est prometteur pour la suite.
“ Tout comme Yannick
Kraemer répond à mes
aspirations et me permettra
d’évoluer, je cherche
à sublimer le nom
de Kraemer à l’étranger. ”
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Pascale Sonzogni
Kraemer Sion (Suisse)
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Lak Ngovinassack
Kraemer Marrakech (Maroc)
1.
Je connais Yannick Kraemer depuis très
longtemps, c’était déjà un ami quand je
me suis lancée dans l’aventure à l’étran-
ger. Nous avions déjà ouvert trois salons
à Dijon. Le projet était dynamique et
jeune, ça m’a séduit spontanément.
2.
La grande liberté laissée aux gérants des
salons a motivé mon choix. Dans mon
salon actuel, je privilégie des couleurs
très sobres pour une ambiance chic : un
thème qui me ressemble et dans lequel je
me sens bien.
3.
En implantant mon salon Kraemer au
Maroc, j’ai dû m’adapter à la structure
du cheveu marocain, bouclé, épais et
sombre. La formation permet d’adapter
nos techniques de coiffure à des clien-
tèles ciblées.
4.
J’ai remarqué au fil de mes sept années de
travail ici qu’avec Internet, mes clientes
marocaines se montrent très intéressés
par la mode européenne, les coupes
lisses et les couleurs claires comme le
blond. Après, il faut savoir qu’en dehors
de ces Marocaines qui veulent adopter
une coupe « européenne », notre clien-
tèle est constituée de beaucoup d’Euro-
péens vivant au Maroc.
1.
Ce qui m’a attirée dans le groupe Krae-
mer, c’est la notion de qualité, d’ambi-
tion, mais surtout la dimension aussi bien
artistique qu’humaine !
2.
Ce qui me plait c’est l’idée de permettre à
chacun des salon de garder son identité.
Ayant vécu l’expérience d’une grande
marque où tout semblait aseptisé et sans
âme, je m’investis d’autant plus dans
mon salon. J’y développe beaucoup le
service maquillage, et je marie les visuels
du groupe avec des photographies que je
réalise, ce qui me permet de dynamiser
au maximum mes vitrines.
3.
Rejoindre le groupe a été comme re-
joindre une famille, réunie par une pas-
sion commune pour la coiffure ! De plus,
la formation proposée répond à mes
aspirations, car les techniques enseignées
sont celles que je privilégie aujourd’hui
encore ! C’est une chance d’échanger
avec des professionnels de grande expé-
rience ; il est très enrichissant de pouvoir
rencontrer des collègues de différents
pays avec des clientèles différentes.
4.
Quand mes clientes découvrent le
concept global, elles manifestent beau-
coup d’intérêt. Mon rêve ultime serait
de faire de mon salon LE salon leader de
ma ville ! Il a une très belle réputation,
mais je lui souhaite encore mieux ! Quant
à ce que je peux apporter au groupe :
une porte ouverte dans mon pays. Tout
comme Yannick Kraemer répond à mes
aspirations et me permettra d’évoluer, je
cherche à sublimer le nom de Kraemer à
l’étranger.