Alexandra Perrier
Avant de commencer, puisque cela est une nouveauté pour le magazine, précisons qu’à chacune
des sorties, un auteur s’apprêtera à donner vie à l’un de ses personnages, principal ou secondaire. À
travers ses questions, Florence nous offre la possibilité de mieux les connaître.
Pour ce magazine, faisons connaissance avec Alexandra Perrier.
Raconte-nous une journée type au sein de
ton livre.
Ma journée commence souvent par un bon
footing, histoire d’éliminer les résidus de la soirée
d’avant, régulièrement bien arrosée de gin-tonic,
ma boisson préférée. Je file après en conférence
de rédaction, à une interview ou au service
archives du journal dans lequel je travaille,
Actualités, pour les pages culturelles. Déjeuner
sur le pouce ou avec mon collègue Edgar. L’après-
midi se déroule la plupart du temps derrière mon
ordinateur à taper de manière enragée sur son
clavier pour rendre mes papiers à temps. Le soir,
je suis souvent amenée à faire une expo, un
théâtre ou finir un livre à chroniquer… quand je
ne retrouve pas mes deux meilleures amies pour
parler de nous et de rien !
Quelle est ta citation préférée ?
« Sans imagination, l’amour n’a aucune
chance. » Romain Gary.
Bonjour, toi ! Comment tu t’appelles ? Et
sais-tu pourquoi ton auteure a choisi ce nom ?
Je m’appelle Alexandra Perrier. Mon
auteure a choisi ce prénom parce qu’il dispose
d’un diminutif, Alex, et que ces deux noms sont
employés différemment dans le récit, selon
l’humeur et la situation. Pour ce qui est du nom,
Perrier, j’imagine que mon auteure l’a choisi
parce que je décapsule assez vite dans la vie…
Quelle est ta passion, et comment tu la fais
vivre ?
En tant que journaliste culture dans un
quotidien, je suis évidemment aspirée par les arts
et en particulier l’art moderne et la photographie.
Avec quel autre personnage de fiction, hors
de ton livre, pourrais-tu t’entendre ?
Avec Leo Leike, le personnage masculin de
Quand souffle le vent du nord de Daniel
Glattauer, parce que tous les deux ont de
l’humour, aiment jouer et savent écrire.
D’où tu viens ? Tu as quel âge ?
J’ai 30 ans et je suis parisienne.
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