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Le système de gestion de l’offre
D’autres accords de libre-échange sont
aussi à venir, alors que le partenariat
trans-pacifique (avec les pays de l’Asie)
représentera une opportunité pour les
exploitants de la province, notamment
ceux du domaine porcin. Des discussions
animées sont cependant envisagées, et
celles-ci mettront en cause un nombre
élevé de pays qui engageront le Canada,
particulièrement en ce qui concerne le
système de gestion de l’offre. À ce sujet,
M. Couillard a tenu à mettre sur table
quelques points qui le touchent. D’abord,
il refuse qu’on lui dise que le Québec est
l’unique endroit au monde qui soutient
son agriculture. Selon lui, au lieu de la
favoriser par des subventions (comme en
Asie ou en Europe), on a plutôt choisi un
système de gestion de l’offre.
défendre ce système dans les négociations
à venir. En sommes, il demande que les
agriculteurs du Québec soient en mesure
de profiter d’une ‘patinoire égale’ pour
tout le monde.
Pour conclure, M. Couillard a tenu à
rappeler qu’il sait que de nombreux défis
attendent le monde agricole et tous les
Québécois. Alors qu’il s’est engagé à
une opération de relance des finances
publiques qu’il juge ‘indispensable’, M.
Couillard croit qu’il ne faudra pas échouer
à cette tâche. Pour toutes les raisons qu’il
a mentionnées, M. Couillard affirme que
son gouvernement se tiendra aux côtés
des agriculteurs.
De plus, le premier ministre affirme qu’il
croit à la valeur de ce modèle, malgré les
nombreuses critiques à ce sujet. D’après
M. Couillard, ces mesures ont permis
de maintenir la stabilité des prix tout en
assurant l’avenir des familles agricoles et
l’approvisionnement des transformateurs,
qui peuvent compter sur des coûts
prévisibles. Ainsi, pour l’ensemble de ces
raisons qui sont couvertes par un accord
provincial-fédéral, Philippe Couillard
garantit qu’il continuera à se battre pour
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