Pour elle, quoique Dieu l’ait fait douce et tendre,
Elle ira son chemin, distraite, et sans entendre
Ce murmur d’amour élevé sur ses pas;
Quelque fois, des villes étaient inévitables. Je marchais en espérant que mes pieds seulement murmuraient sur le sol. Rarement je parlais avec les autres. Rarement je parlais à tous. Mes pensées étaient seulement pour moi et pour mon amant, la nature. C’était la nature qui connaissait tous mes secrets, tous mes désirs. Les autres ne pouvaient pas comprendre, c’était le toujours sentiment …que personne ne pourrait comprendre sauf moi et la monde naturel. Après du temps, Je me suis souvenu des montagnes que m’avais montré tous. Je suis y retourné, prêt de faire quelque chose que je n'ai jamais pensé que je pourrais souhaiter. J’étais prête de rester. Toute ma vie, J’étais agitée…prête à explorer le monde, prêt à apprendre à me comprendre. Et enfin, j’ai compris. J’étais devenu moi-même, une femme j’espérais que je pourrais être et une femme que je ne pourrais jamais imaginer. J’étais contente de vivre le reste de ma vie dans la solitude, ne voulant rien de plus que la paix.
Eventuellement Je suis tombée malade. Mes os sont constamment douloureux. Mes yeux, si désireux de voir la nature qui les entoure, ne pouvaient pas supporter d’être ouverts. Mes mains ne pouvaient pas saisir le monde dans lequel ils étaient nécessaires pour de saisir. Mon corps était trop mince, comme si ses désires s’étaient enfuis.
Je ne pouvais pas supporter la lumière du soleil….pas le mystère de la lune…pas même la liberté du la nuit. Je peux sentir la vie en fuite de moi.
Une vie entière des espoirs et désirs et maintenant, je veux seulement la mort parmi la liberté du vent.
Je ne sais pas si quelqu’un se souviendra de moi. Je ne sais pas. Peut-être on trouvera ces pages de ma vie et demandera qui…qui est cette femme ? Peut-être….
A l’austère devoir pieusement fidèle,
Elle dira, lisant ces vers tout remplis d’elle:
“Quelle est donc cette femme?” et ne comprends pas.