L'histoire d'une femme inconnue
Quand j’étais petite, je pensais que je pourrais être une princesse, une artiste….Toujours j’avais le désir d’être sociale, toujours je voulais être aimée par les autres, toujours je pensais que je pourrais être spéciale. Maintenant je pense à cette fille et je me souviens de la première fois qu’elle a réalisé qu’elle préférait être seule. Je me souviens qu’elle était déterminée de laisser tous ces espoirs ridicules derrière elle. C’était debout sur le sommet d’une montagne….loin de tous les autres….loin de la corruption…loin de la société…très loin de la société. Là, le monde semblait parfait…sans bruit ; seul le bruit de mon cœur et de mes respirations superficiels. J’ai tombé amoureuse de la nature, de le silence que la vie peut avoir
Mon âme a son secret, Ma vie a son mystère
Un amour éternel en un moment conçu ;
Le mal est sans espoir, aussi j’ai dû le taire,
Et celle qui l’a fait n’en a jamais rien su.
J’étais captivée par les possibilités. J’étais pétrifiée par les pensées que quelque chose se passerait de prendre ces possibilités de moi. Dans ce moment, j’étais contente et même temps, j’avais peur….
Hélas! J’aurais passé près d’elle inaperçu,
Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire,
Et j’aurais jusqu’au bout fait mon temps sur la terre,
N’osant rien demander et n’ayant rien reçu.
Je souviens du premier moment que j’avais des ennuies d’aller chez moi….de voir ma mère, le seule personne qui me connaissait. C’était la première fois que j’ai pleuré. J’étais parmi des fleurs sauvages. Le vent soufflait leur parfum vers moi, comme si j’étais parmi le parfum de ma mère dans ma jeunesse. Hélas, Elle était morte. J’ai pensée que j’avais perdu son parfum ; des fleurs me le rendissait.