Colloque Julius Koma COLLOQUE corrigé le 4 juin 2017 | Page 93

D-A Boariu : Une dernière remarque et après j’arrête. J’aurais voulu citer Daniel Arasse, de manière idéale, j’aurais aimé commenter son magnifique travail sur L’Imaginaire de la terreur. Malheureusement, lui s’arrête chronologiquement juste après la terreur. Mon intention était de reprendre un peu cette iconographie et de la ressourcer, de l’emmener un peu plus loin. Mais effectivement, c’est le premier qui insiste sur le fait que par exemple, les descriptions anglaises de la guillotine signifient « chevalet ». Et c’est lui qui force aussi ce terme « portrait de guillotiné ». Alors là il y aurait énormément de choses à faire, de magnifiques choses sur Charlotte Corday par exemple. Voilà, l’iconographie est assez généreuse, je pense qu’il y a moyen de faire quelque chose de bien. Merci beaucoup. Jean-Pierre Denefve : Nous accueillons maintenant Nathalie Nyst, sans laquelle le projet qui nous motive ces deux jours-ci aurait plus difficilement pu voir le jour, puisque c’est elle qui a, par ses compétences, orienté notre manière de travailler. Et sans laquelle nous n’aurions probablement pas pu passer à travers toutes les étapes administratives du projet. 93