>>> La responsabilité : Chez ESOPHRO nous avons conscience qu’une bonne formation est une formation qui voit ses stagiaires réussir dans leur projet. Aussi nous endossons pleinement notre part de responsabilité dans la réussite de nos stagiaires. C’est pourquoi nous mettons tout en oeuvre pour les accompagner dans la concrétisation de leur projet, et ce même après la fin de leur formation.
BM : Vous ne manquez pas d’idées ! avez-vous quelques projets à nous dévoiler en exclu ?
AL. Comme vous le savez peut-être déjà, cette année nous lançons ESOPHRO PARIS. Les inscriptions sont déjà en cours. Nous devrions accueillir dans notre réseau ESOPHRO trois nouveaux sophrologues issus de nos formations.
Notre structure devrait dans quelques semaines être lauréate du réseau entreprendre, ce qui est une vraie distinction de qualité et développement pour nos stagiaires.
Pour le reste je ne peux pas trop en dire... si ce n’est qu’ESOPHRO est une structure dynamique et notre équipe à pleins d’idées... aussi nous vous réservons quelques surprises.
BM : Comment voyez-vous l’évolution de la Sophrologie en France ?
AL. C’est une question difficile. Je trouve qu’il se passe beaucoup de choses en ce moment, mais qui ne vont pas forcément dans le sens de « la Sophrologie » si ce n’est dans le sens d’intérêt commerciaux ou d’enjeu de pouvoir.
Je pense néanmoins que nous arrivons à un point culminant du développement de la sophrologie et que les acteurs majeurs de cette profession vont être très prochainement dans l’obligation de trouver un consensus. C’est la suite logique et annoncée de l’essor de la sophrologie. La grande question est : en seront ils capables ? Réussiront ils à dépasser les enjeux d’égo ? D’après ce que je constate, au jour d’aujourd’hui, la réponse est non.
BM : Et dans le monde peut-être ?
AL. J’imagine tout à fait la sophrologie se développer dans le monde. Il faudrait pour cela former des sophrologues anglophones et certaines écoles se sont déjà attelées à la tâche notamment en Angleterre.
BM : Et dans vos rêves les plus fous ?
AL. Je ne vis pas mes rêves comme fous mais comme des projets potentiellement réalisables. Je n’en dirais donc pas plus pour ESOPHRO afin ne pas dévoiler des orientations futures.
En revanche pour ce qui est de la sophrologie je peux répondre. Dans mes rêves les plus fous j’imagine que tous les acteurs majeurs de la sophrologie (directeurs d’écoles, présidents de syndicats, formateurs etc.) s’appliquent à eux-mêmes les principes fondamentaux de la sophrologie (ouverture, neutralité, congruence, empathie etc.). Ils ont une réelle volonté de travailler et d’avancer ensemble pour l’essor de la Sophrologie.
BM : Y-a-t-il un "petit truc » qui vous fait particulièrement vibrer en Sophrologie ?
AL. L’ouverture des champs du possible, la créativité, l’humanité à laquelle on accède quand on est au plus proche de ce que vit notre client, la nouveauté (chaque accompagnement est nouveau), la perspective (notre profession est liée aux neurosciences, nous sommes en perpétuelle évolution). Bref vous l’aurez compris, tout me fait vibrer dans ce métier. Plus j’exerce mon métier, plus il me passionne.
BM : Si vous deviez être : un mot, une image et un son, quels seraient-ils ?
Un mot : Je suis bien trop bavarde pour un seul mot ! J’en dirais donc plusieurs : intensité, optimisme, gratitude et mouvement.
Un son : Un matin qui se lève... la sérénité de la nature qui se réveille et l’énergie de vie qui s’annonce.
Une image : Une chute d’eau.
BM : Mot de la fin ?
AL. MERCI à toute l'équipe pour ce beau projet que nous construisons ensemble, MERCI aux lecteurs, aux stagiaires de nos écoles, aux clients qui chaque jour nous renouvellent leur confiance.
Par Caroline Quemener
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