Il fIl faut savoir que pour devenir ces « poupées » dansantes qui incarnent beauté, richesse et célébrité, il faut passer par des difficultés cachées par cette image positive de l’industrie grandissante de la k-pop.
Tout d’abord, le gouvernement pense que cet extension de la pop coréenne permet de mieux faire connaître le pays qu’est la Corée du Sud et pense que la musique est un fer de lance culturel et économique. Alors la k-pop devient en quelque sorte une stratégie gouvernementale et le concept est construit sur la tendance du moment. Il soutient aussi ce mouvement pour une image positive à l’étranger. Le gouvernement favorise ce phénomène, seulement les stagiaires subissent une formation longue (7 ans). Alors ils commencent très jeunes, c’est pour cela que dans certains groupes le plus jeune peut avoir 14-15 ans (ex : SHINee, 4minutes, Miss A, Big Bang, BTS, 2ne1, AKMU, f(x)). Pendant cette formation, ils apprennent à chanter, danser, parler des langues étrangères et jouer la comédie.
Le contrat signé avant les débuts est de longue durée mais peut prendre fin rapidement si les idoles s’affichent avec de l’alcool, une cigarette ou même avec une petite amie car tout cela est interdit.
Les conditions sont difficiles. Ils ont un programme intensif (ex : SNSD ont eu 3 « showcases » en une après-midi) et donc beaucoup d’heures d’entraînement, ce qui entraîne peu de sommeil pour certains (période surtout lors de la sortie d’un album). En plus de cela, avant des interviews, leurs réponses sont rédigées et les stars doivent les apprendre. Quant aux journalistes, ils ont pour interdiction d’aborder les sujets sensibles, tels que les conditions de travail, la vie personnelle ou encore la chirurgie esthétique.
LES DÉFAUTS DE LA K POP
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