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approche du calcul . Ensuite , vous avez une illustration du réseau de force qui se développe dans l ’ arche arrière , que l ’ on visualise très bien ( voir illustration P4.31 ). Sur la façade sud , les arches de compression se développent dans les plates-bandes en façade . Cela nous permet , par le post-traitement de ces résultats , de valider la viabilité en termes de structurel de la proposition . Après ma « moquerie » des textes , il faut bien sortir de ces impasses . Que disent les textes normatifs sur les chaînages , par exemple ? Sur les chaînages verticaux , dans la mesure où l ’ on respecte le harpage entre les blocs de pierre , la pierre se suffit à elle-même . Il n ’ y a pas besoin de carotter , de mettre des aciers dedans . Les textes ne l ’ imposent absolument pas , que ce soit bien clair .
Regardons ce que les textes disent des chaînages horizontaux . Le texte d ’ aujourd ’ hui , le DTU 20.1 , qui est l ’ application nationale de l ’ Eurocode , dit que les murs de maçonnerie doivent être ceinturés au niveau du plancher , au droit de chaque plancher , avec un espacement maximum de 4 mètres . Il faut que ce chaînage horizontal soit en béton armé , continu et fermé . Ils proposent par défaut ces deux solutions , mais disent « Il faut que ce soit en béton armé , mais n ’ en faites pas trop car cela crée des désordres dus à des différences de dilatation thermique et de rigidité au sein de la maçonnerie ».
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C ’ est « faites comme cela , mais pas trop non plus » ! |