11 24H LE MAG
LE DOSSIER
� � �SAPHIR DE MORGE : CELUI QU’ON N’A PAS EU
Dans une liste qui ne peut être exhaustive, deux hongres, dont les gains naux dépassent le demi-million d’euros, eux aussi à mettre au crédit des compétitions à réclamer, nous reviennent en mémoire. Prince du Verger (Axe des Sarts), d’une part, qui amassa jusqu’à 660.000 euros, à la faveur de quatorze victoires, notamment de Groupe 3, et d’une cinquantaine d’accessits, et Quel Hermès (Hermes du Buisson), d’autre part, qui monta ses gains à 540.000 euros, au l, pareillement, de quatorze succès et d’une trentaine de places. Le premier t son ascension sous la responsabilité de Jean-Michel Baudouin et le second sous celle du même Benjamin Goetz qui veille sur Emeraude de Bais .
Saphir De Morge , un futur vainqueur du Prix des Centaures (Groupe 1), en 2012, et troisième des Prix de Cornulier (Groupe 1) et de l’Ile-de-France (Groupe 1), en 2014, a couru et vaincu à réclamer, avant son avènement au plus haut niveau, mais il n’a pas changé de mains, restant aux soins de Franck Terry. Si tel n’avait pas été le cas, il aurait été l’un des héros de cette chronique. Il n’empêche qu’il a bel et bien été proposé à la vente dans une course à réclamer.
Saphir de Morge et P.Y. Verva ©Scoopdyga
UN AUTRE MÂLE ET DES HONGRES
En remontant davantage dans le temps, on trouve encore une excellente affaire, réussie par Yves Dreux, lorsqu’il réclama l’élève de Robert de Wulf, Passe Avant (Ura). Jusqu’alors, ce ls d’ Ura , âgé de 6 ans, avait connu, comme l’on dit, des fortunes diverses. Sous la coupe et la monte du professionnel mayennais, il enchaîna neuf succès à Vincennes, Caen, Angers et, en n, Enghien, où il s’adjugea même ce qui deviendra plus tard un Groupe 2, le Prix de Londres !
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©Aprh
Passe Avant avec Yves Dreux