Elle a partagé des exemples des bonnes pratiques qui guident les réponses à certains des enjeux du développement dans la région. Ces pratiques favorisent la priorisation des méthodes de prévention, le maintien du droit à une consultation préalable avec les communautés locales, et une action coordonnée entre les trois branches du pouvoir de l’État. Il est essentiel d'orienter des ressources vers les laissés-pour-compte du denier agenda de développement et de leur garantir l'accès à la justice.
Le principal défi pour atteindre les nouveaux objectifs de développement durable sera, pour les décideurs politiques, de trouver un équilibre et des compromis adéquats. Il ne s’agit pas de trouver les « bonnes » réponses, mais de trouver celles qui ont comme fondements le respect de la culture locale et un développement inclusif basé à la fois sur des données scientifiques et la participation citoyenne. De nombreux principes, accords et normes ont été développés dans le contexte de l’agenda pour le développement post-2015. Il faut maintenant adopter la législation nécessaire pour les défendre et créer les conditions pour leur mise en œuvre dans l'hémisphère.
« Il est nécessaire de renforcer la coopération régionale ».
« Les défis liés aux changements climatiques représentent une opportunité de développer des initiatives qui doivent être soutenues par nos parlements »
« Il n’existe fondamentalement que deux modes distincts de développement. Soit il existe un système qui permet à quiconque peut faire du profit de faire du profit. Soit il existe un système qui est conçu pour favoriser le bien-être de l’ensemble de la communauté »