The Essential Guide to Doing Transition. Le Guide Essentiel de la Transition. | Page 38

« C’est incroyable de pouvoir parler à des personnes de 20 pays différents, avec leur vision du monde, leur sincérité, ça m’a beaucoup touchée. »

- Carolyn, États-Unis

Pourquoi est-ce important de faire partie d’un réseau international d’initiatives de Transition ?

« Parfois, quand on a travaillé toute la journée dans la Transition en collectif, on s’y perd un peu, tout peut devenir compliqué et on perd parfois de vue l’objectif. Mais le fait de parler avec toutes ces personnes ici, d'avoir des retours de gens qui font la même chose ailleurs, ça m’aide vraiment à clarifier les choses et à avoir confiance dans le fait que je suis sur le bon chemin. »

- Lynn, Pays-Bas

« C’est génial de voir toute la diversité de cet événement, de pouvoir partager des histoires et de se faire des amis, de voir les liens qui se créent, d'impliquer notre cœur, notre âme et notre cerveau pour gérer aussi nos réalités chez nous. C'était une ambiance vraiment amicale, merci de m’avoir invité. »

- Raúl, Mexique

« Je me suis fait beaucoup d'amis partout dans le monde et j'ai eu la chance de voir comment je pouvais me connecter un peu plus à la partie internationale de la Transition. Ça a vraiment été une expérience très riche de voir comment les choses sont préparées et cuisinées à cette échelle. De plus, c’était super amusant, c’était très drôle et j'ai adoré ! »

- Andre, Roumanie

« C’est vraiment devenu une famille, même avec les personnes qui ne sont jamais venues. Du coup, même ceux qui viennent de rejoindre les réseaux nationaux se sentent intégrées dès le début. Si on arrive à garder cet esprit et ce type de réunions, alors on peut affirmer que la Transition se porte magnifiquement bien. »

- Gerd, Allemagne

« Ici, on sent qu'on n’est pas seul. On sent que le changement est possible et qu’il est en cours, ça me rend heureux ».

- Juan, Espagne

« Ces derniers jours étaient pleins de créativité et d’inspiration et je pense avoir pu refaire le plein d’énergie pour ce que j'ai à faire »

- Ana, Espagne

Nous avons posé la question aux participants de la Rencontre des réseaux de Transition à Copenhague (2014) :

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