Série des livres numériques de l’UVA Livre #3: Un siècle d’histoire de l’UGAB (Livre 1) | Page 47

bibliographie

82. Ibidem, lettre confidentielle d’A. Williams à B.

Nubar, du 29 juillet 1913 ; voir également Les réformes arméniennes et l’intégrité de la Turquie d’Asie, Constantinople le 22 mars 1913, 4 pp. ; Les réformes arméniennes et les populations musulmanes : les émigrants (mohadjirs) dans les provinces arméniennes, Constantinople le 5 mai 1913 ; Les réformes arméniennes et le contrôle européen, Constantinople le 14 juin 1913, 4 pp.

83. Ibidem, revue de presse du 2 juin au 10 juillet

1913 ; Note sur quelques objections faites au projet de réformes arméniennes, Constantinople le 5 août 1913, 4 pp.

84. Ibidem, lettres de Greenfield à B. Nubar, des 31 juillet

et 5 août 1913

85. Ibidem, lettres de B. Nubar à A Symonds, membre

du British-Armenian Committee, du 12 août, et à Yakoub Artin Pacha, également à Londres, du 13 août 1913.

86. Ibidem, télégramme du 14 août 1913.

87. Ibidem, lettre de B. Nubar au pasteur Lepsius, du

22 août 1913.

88. Ibidem, lettre de B. Nubar au Baron Robert de

Caix, secrétaire-général du Comité de l’Asie française, section du Levant, du 27 août 1913

89. Ibidem, lettre de Berlin du R.P. Krikoris Balakian,

secrétaire du Comité spécial du Patriarcat de Constantinople, à Nubar, en date du 24 août 1913, mettant en évidence le rôle souterrain de K. Zohrab, membre éminent du Comité spécial.

90. Ibidem, lettre de Berlin, de James Greenfield à B.

Nubar, du 28 septembre 1913.

91. Ibidem, lettres de B. Nubar à Lepsius, des 13 et 18

octobre 1913, révélant la teneur des propos tenus par Sazonov lors de son entrevue à Paris.

92. Ibidem, lettre de Lepsius à B. Nubar, du (?)

octobre 1913.

93. Ibidem, lettre de B. Nubar à Lepsius, du 18

octobre 1913, évoquant son entrevue du 17 octobre avec le ministre Pichon. Frank G. Weber, Eagles on the Crescent : Germany, Austria and the Diplomacy of the Turkish Alliance, 1914-1918, Ithaca et Londres 1970, pp. 20-21, montre un infléchissement de la politique allemande en faveur des Arméniens et un changement d’attitude de l’ambassadeur à leur égard. Berlin aurait alors envisagé de s’appuyer sur les Arméniens dans ses projets de développement économique autour du Bagdadbahn. Pour contrer ce rapprochement, le gouvernement ottoman aurait offert aux Britanniques d’envoyer des inspecteurs en Arménie. Le ministre des Affaires étrangères Jagow aurait même ordonné de négocier avec les chefs de tribus kurdes pour qu’ils cessent de « s’adonner à leur sport favori, le meurtre d’Arméniens et l’incendie de leurs villages » (ibidem, p. 24).