Revue Six Étoiles Revue Six Étoiles hiver 2008/2009 | Page 14
FORESTER
toit livrés de série visent le même objectif. Le
compartiment de charge est plus spacieux
que jamais – suffisamment grand pour loger
quatre sacs de golf – entre autres grâce à la
suspension arrière modifiée qui n’empiète
pas dans le coffre. On retrouve aussi une
multitude de compartiments de rangement
de tous formats, pour transporter une
panoplie d’articles.
La Forester 2.5X est un modèle
d’entrée de gamme bien équipé, qui peut
s’enrichir de l’un ou l’autre des deux groupes
d’options. Le groupe Tourisme inclut un
toit ouvrant électrique, des antibrouillards
halogènes à réflecteurs multiples et des
jantes en alliage d’aluminium de 16 pouces
tandis que le groupe Limited rajoute
des phares au xénon à décharge haute
intensité (DHI), une chaîne audio de luxe
avec changeur 6 CD et ambiophonie
SRS CS-AutoMC, un siège conducteur à
10 réglages électriques, des jantes en alliage
d’aluminium de 17 pouces et des sièges
garnis de cuir perforé.
La dernière, mais non la moindre,
est la Forester 2.5XT avec son fougueux
moteur turbo BOXER SUBARU de 2,5 litres.
Ce moteur délivre une puissance
explosive – 224 chevaux et 226 lb-pi de
couple – en plus d’un comportement routier
docile et d’un rendement énergétique
étonnant. La 2.5XT comprend aussi une
écope de capot fonctionnelle, une boîte
automatique à 4 rapports SPORTSHIFTMC,
un déflecteur arrière à la ligne de toit, des
pédales sport en aluminium et des jantes en
alliage de 17 pouces.
Qu’importe le modèle Forester qui sera
l’élu de vote cœur, soyez assuré qu’au volant de
cet agréable et efficace VUS, le style, le confort
et la commodité ser ont au rendez-vous.
Devant tout ce qu’offre la nouvelle
Subaru Forester, parions que vous
conviendrez que le VUS japonais est plus
sexy que jamais.
*Mention « Meilleur choix sécurité » pour la Forester 2009. Une cote
« Bonne » constitue la meilleure cote possible dans les essais de collision
frontale déportée à 40 mi/h, de collision latérale à 31 mi/h et de collision
arrière à 20 mi/h, réalisés par l’Institut des assureurs américains (IIHS)
(www.iihs.org). Un véhicule doit avoir obtenu la cote « Bonne » aux trois
essais de collision et doit offrir un programme de stabilité électronique
(ESC) (contrôle de la dynamique du véhicule VDC) pour mériter la distinction
« Meilleur choix sécurité ».
**Cotes cinq étoiles aux essais de collision frontale et latérale de la Subaru
Forester 2009. Les cotes de sécurité du gouvernement américain font partie
du programme d’évaluation des véhicules neufs de la National Highway
Traffic Safety Administration (NHTSA) (www.safercar.gov). Une cote cinq
étoiles représente la cote la plus élevée du gouvernement pour a) les sièges
du conducteur et du passager avant dans les essais de collision frontale, et
b) les sièges avant et arrière dans les essais de collision latérale.
À LA FAÇON DES
SUMOS
Comme la Subaru Forester 2009, le sumo est
profondément ancré dans la tradition japonaise.
Alors que le VUS au format intelligent a vu le jour en
1997, la discipline ancestrale du sumo remonte à plus
de 1500 ans, ce qui en fait l’art martial japonais le plus
ancien. Les premiers combats de lutte sumo prenaient
la forme d’un rituel religieux et s’accompagnaient de
prières pour des moissons abondantes, de danses
sacrées et de théâtre.
LE COMBAT SUMO
Pour remporter un combat, le sumotori ou
rikishi (qui signifie en japonais « professionnel
de la force ») doit éjecter son adversaire hors du
cercle de combat (le dohyo) ou le jeter au sol. Il y
a retrait systématique si le rikishi met ne serait-ce
que l'orteil ou le talon hors du cercle de combat,
qui est délimité par des ballots de paille. Il y a touché
dès qu’une partie du corps du rikishi touche le sol, y
compris le bout d’un doigt ou l’extrémité du chignon.
Lorsqu’ils arrivent sur le dohyo, les rikishis
effectuent quelques gestes symboliques pour purifier
leur esprit (se rincer la bouche avec de l’eau) et leur
corps (s’essuyer avec une serviette). Ensuite les rikishis
s’accroupissent face à face au centre du cercle puis
se penchent devant pour appuyer les poings au sol.
À ce moment, les deux lutteurs se toisent du regard,
se lèvent subitement puis retournent dans leur
coin respectif. Ils prennent une poignée de sel et la
lancent sur le cercle en signe de purification. Ce rituel
se répète encore et encore, pendant quatre minutes
(variant selon la catégorie), après quoi l’affrontement
peut commencer.
Les règles de conduite pendant le match
sont strictes : il est interdit de donner des coups de
poing ou des coups de pied, de tirer les cheveux, de
piquer les yeux, d’étrangler ou de saisir la portion du
mawashi (la ceinture de soie) qui couvre l’entrejambe.
Il n’y a pas de catégories de poids en lutte sumo, il
peut arriver qu’un rikishi affronte un adversaire ayant
le double de son poids : c’est là que les véritables
champions peuvent se distinguer par leur équilibre,
leur confiance et leur stabilité supérieurs.
UN ENTRAÎNEMENT DISCIPLINÉ
Les sumotoris suivent un entraînement strict
et rigoureux dès leur plus jeune âge. Dans les
nombreuses écoles sumo du Japon, les jeunes
lutteurs apprennent les règles, l’étiquette et l’histoire
de leur discipline. Ils doivent se concentrer sur leur
gain de poids et s’exécuter devant des dépisteurs
qui recrutent pour diverses « écuries » ou centres
d’entraînement sumo. Seuls les meilleurs espoirs sont
repêchés par les écuries
sumo – c’est à cet endroit
qu’ils entreprendront
les années d’entraînement
nécessaires pour devenir champion rikishi.
Dans les écuries, les plus jeunes recrues se
lèvent dès 4 heures du matin pour s’entraîner et
pour servir d’assistants personnels aux rikishis plus
anciens. Ils mangent plusieurs repas hautement
protéinés pour un gain de poids optimal. Dans
l’espoir de former des combattants en meilleure
santé, les écuries ont récemment adopté des
entraînements aux poids et autres formes d’exercice
pour produire des lutteurs plus sveltes, quoique
tout aussi puissants. Pour aspirer à devenir rikishi,
le lutteur sumo doit être en bonne santé, mesurer
plus de 173 cm et peser plus de 75 kg.
POPULARITÉ GRANDISSANTE
À l’instar de la Subaru Forester, la lutte sumo a connu
un essor de sa popularité, et l’intérêt a grandement
dépassé les frontières du Japon. Les lutteurs sumo
sont aujourd’hui issus de nombreuses nationalités
et font des combats partout en Europe, en Asie, en
Amérique du Nord et en Amérique du Sud, et plus
encore – même les femmes se mettent à la pratique
du sport! Partout sur la planète, les grands champions
de lutte sumo sont de véritables célébrités et
comptent d’innombrables admirateurs dévoués.