7- Le VIH est la source de nombreuses maladies
En virologie, les lois sont claires, le Paramyxovirus
n’est présent que chez les rougeoleux, le myxovirus
n’est présent que chez les grippés… etc. Mais avec le
VIH une nouvelle ère a commencé, celle du virus poly-
valent tout puissant mais invisible, capable de causer
une trentaine de maladies infectieuses dues à l’immu-
nodépression mais aussi des pathologies n’ayant rien
à voir avec le système immunitaire. Ce n’est plus de la
médecine et ce n’est plus un microorganisme, c’est un
monstrueux pitoyable alien de science-fiction. Com-
ment a-t-on pu avaler de tels propos sur cette ‘‘soi-
disant découverte’’ défiant toutes les lois de la viro-
logie. Le pire dans tout cela, sans la moindre preuve
scientifique fiable, juste de beaux discours venant des
mandarins et des laboratoires pharmaceutiques.
Apporter une preuve scientifique est inutile, seul
compte la notoriété.
De nombreuses études épidémiologiques confirment
la grande part que tiennent les maladies opportu-
nistes et les affections liées au VIH dans la morbi-mor-
talité du SIDA. A tel point que de nombreux microor-
ganismes ont vu leur taxonomie et leur épidémiologie
modifiée suite aux recherches sur les patients Sidéens.
Outre les infections opportunistes, une association
entre le VIH et certains cancers a été clairement dé-
montrée par de nombreuses études, d’ailleurs certains
cancers font passer les patient VIH en stade SIDA
d’emblée.
8- Il vaut mieux savoir si l’on est séropositif
Une question très pertinente : fuir une éventuelle réa-
lité, ou l’assumer et combattre ?
L’annonce de la séropositivité entraine une pertur-
bation psychologique, un stress permanent, et des
réactions émotionnelles, qui induisent une série de
cascades et d’événements physiologiques domma-
geables pour la santé, ce qui affaiblit les défenses
immunitaires, à cause des pics de cortisol qui est une
hormone immunosuppressive. « L’annonce s’avère plus
dangereuse que le virus même. »
La prestation du conseil et du dépistage du VIH repré-
sente une voie d’accès déterminante et essentielle aux
services de prévention et de traitement.
On sait désormais que la connaissance précoce de la
séropositivité optimise les possibilités d’accéder au
traitement et, ainsi, de réduire de beaucoup la morbi-
mortalité et de prévenir la transmission sexuelle et
materno-fœtale. Les traitements efficaces contre le
VIH réduisent, dans une proportion allant jusqu’à 96%,
la probabilité qu’une personne séropositive trans-
mette le virus à son partenaire sexuel.
Aussi, les personnes séronégatives peuvent continuer
de faire des efforts pour se protéger de l’infection à
VIH par des méthodes de prévention qui ont fait leur
preuve : sexualité à moindre risque, utilisation de pré-
servatifs, circoncision médicale volontaire, sécurité du
matériel d’injection, diminution du nombre des parte-
naires sexuels.
Selon Stephen Thomas, directeur de Centre pour la
Santé des Minorités (Center for Minority Health) de
l’Université de Pittsburgh : « Les gens ne comprennent
pas. Ils voient partout des conspirations au lieu de
songer à se protéger, à passer des tests et à rechercher
quels soins et quels traitements leur conviennent. »
9- L’épidémie du SIDA est dévastatrice
« Le SIDA est une maladie apocalyptique ». De s infor-
mations jamais vérifiées ni par les médias, ni par les
organisations mondiales circulaient à foison permet-
tant au SIDA d’exister et d’investir la presse internatio-
nale. Cette montée de la terreur s’est faite par étapes
successives :
1. Attribuer le SIDA au VIH a été le premier pas décisif
qui a permis d’imposer l’idée que le SIDA était une
maladie infectieuse et potentiellement transmissible.
2. Mettre au point des tests de séropositivité a servi
ensuite à prétendre pouvoir détecter une infection au
sein de la population en bonne santé.
3. Le nombre de maladies censées être causé par le
« VIH » a progressé par paliers, passant de 3 à 30 en
quelques années.
4. En plus, la définition même du SIDA a été profon-
dément modifiée à quatre reprises (1982, 1987, 1992
et 1998) par les CDCP (Center for Disease Control and
Prevention) et l’OMS, chaque nouvelle définition en-
traînant une escalade catastrophique de l’apparente
épidémie.
5. Enfin, les statistiques basées sur des extrapolations
acrobatiques ont permis d’augmenter chaque année
les chiffres de la contamination, surtout dans les pays
où les contrôles sont les plus difficiles à opérer tels
que ceux d’Afrique.
«…. En 1996-1997, l’introduction d’une thérapie anti-
rétrovirale extrêmement active (HAART), a permis
d’améliorer de façon importante la survie et la santé
générale des personnes affectées par le VIH. L’action
positive du traitement par médication anti-VIH est
considérée comme une preuve de plus du rôle du
VIH dans l’apparition du SIDA, et plusieurs dissidents
importants ont été amenés à accepter le rôle causal
du VIH. Aujourd’hui, les arguments des dissidents qui
nient cette activité indéniable de la trithérapie sont
de plus en plus déconsidérés et perçus comme une
obstination dangereuse à ne pas accepter la réalité.
Ces théories n’en continuent pas moins à exercer une
grande influence dans certaines communautés : une
enquête menée en 2005 à l’occasion de la Gay Pride
ReMed Magazine - Numéro 4
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