Editorial
Steven Boyce
Steven Boyce
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A tribute to our veterans. D Day, June 6th, 1944
I was not there in 1944 but I was there June 6th, 60 years
later… and there wasn’t a dry eye during the ceremony.
I had the opportunity and privilege to attend the 60th
D-Day anniversary ceremony at the Canadian Memorial on
Juno Beach, France, June 6th 2004.
While walking on the beautiful sandy beach, still
encumbered with decaying German defensive gun
infrastructures, Canadian flags stood out in the sand.
As British Navy destroyers patrolled on the horizon,
helicopters flew by and scuba divers protected the
underwater perimeter.
D-Day ceremonies, led by our Canadian Prime Minister
and the Queen of England commemorated those who
sacrificed their lives on that infamous day as several
hundred surviving veterans looked on. These veterans here
were the same who had actually landed on this pristine
beach sixty years earlier and were the ones that survived
that Hell on earth. Let us honor all veterans and those who
still serve us today.
“Juno Beach was the Allied code name for a 10 km
stretch of French coastline assaulted by Canadian soldiers
on D-Day, 6 June 1944, during the Second World War.
The Canadian Army’s 3rd Infantry Division and 2nd
Armored Brigade seized the beach and its seaside villages
while under intense fire from German defenders — an
extraordinary example of military skill, reinforced by
countless acts of personal courage. The 3rd Infantry
Division took heavy casualties in its first wave of attack but
took control of the beach by the end of the day. More than
14,000 Canadian soldiers landed or parachuted into France
on D-Day. The Royal Canadian Navy contributed 110
warships and 10,000 sailors and the RCAF contributed 15
fighter and fighter-bomber squadrons to the assault. There
were 1,074 Canadian casualties, including 359 killed.”
Canadian Encyclopedia
Hommage à nos anciens combattants Jour J, le 6 juin 1944
Je n’y étais pas en 1944, mais j’y étais le 6 juin 60 ans
plus tard… et personne n’a pu retenir ses larmes pendant
les cérémonies.
En effet, j’ai eu la chance et le privilège d’assister aux
cérémonies marquant le 60e anniversaire du Jour J, qui ont
eu lieu à Juno Beach en France le 6 juin 2004.
De nombreux drapeaux canadiens ornaient la belle plage
sablonneuse, encore jonchée d’infrastructures défensives
allemandes en état de délabrement. Pendant que des
destroyers de la marine britannique faisaient la patrouille
au large, des hélicoptères survolaient les lieux et des
hommes-grenouilles protégeaient le périmètre sous-marin.
Les cérémonies, présidées par le premier ministre
canadien et la reine d’Angleterre, ont commémoré ceux
et celles qui avaient donné leur vie au cours de cette
journée tristement célèbre. Les centaines d’anciens
combattants présents ce jour-là avaient survécu à l’enfer
qui s’était déchainé sur cette splendide plage 60 ans plus
tôt. N’oublions pas de rendre hommage à tous les anciens
combattants et à ceux et celles qui servent actuellement
dans nos forces armées.
Juno Beach est le nom de code donné par les Alliés aux
10 km de côte française sur lesquels les soldats canadiens
ont mené la bataille du jour J, le 6 juin 1944, durant la
Deuxième Guerre mondiale. La 3e Division d’infanterie
et la 2e Brigade blindée de l’Armée canadienne, en
s’emparant de la plage et de ses villages côtiers sous le
feu nourri de la défense allemande, ont fait montre de leur
impressionnant savoir-faire militaire et de leur courage
à l’échelle individuelle. La 3e Division d’infanterie
a accusé de lourdes pertes lors de la première vague,
avant de s’emparer de la plage en fin de journée. Plus de
14 000 soldats canadiens débarquent ou sont parachutés
en France lors du jour J. La Marine royale canadienne
contribue à hauteur de 110 navires et 10 000 soldats, et
l’Aviation royale canadienne (ARC) fournit 15 escadrons
de chasseurs et de chasseurs-bombardiers pendant l’assaut.
On compte 1 074 victimes canadiennes, dont 359 morts.
L’ Encyclopédie canadienne.
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