PixaRom Sep.2014 | Page 3

EDITORIAL Ah les dix taux... Certains auront déjà reconnu la plume du clown de Pixarom, d'autres se demandent encore quel est le boulet qu'on a laissé écrire l'édito de ce mois-ci. Pour les seconds, la réponse sera en bas, vu que l'édito est généralement signé. Marrant d'ailleurs, on croirait pas, mais pour un gars qui, lorsqu'il lisait des magazines, se foutait en général royalement des éditos, c'est quand même un comble qu'il en écrive un lui même... Mais bon, revenons en à l'édito : Pixarom V, Le Retour du reviendage de la revanche vengeanciquement vengée ! Ou juste Pixarom V, plus sobrement, et moins stupidement... Comme toujours, vous aurez droit à vos rubriques préférées et ou honnies habituelles que nous vous avons tous concoctés avec amour (ou pas)... à l'exception peutêtre du Rageux de Base, dont l'avenir en ce monde est... comment dire... incertain. Essentiellement parce que l'intéressé derrière ces articles se voit en panne d'inspiration, mais je dirais cependant plutôt ma raison à moi : DarKvin 75 devenait plutôt casse-burnes, avec tout le niveau que l'on peut lui accorder, et a eu ce qui l'attendait depuis longtemps, c'est à dire qu'un inconnu connu de lui l'a attendu un soir en bas de chez lui et lui a tiré dessus de sang froid à bout portant avec une réplique d'airsoft empruntée avant de le laisser là par terre, se morfondant sur lui-même, les mains sur ses joyaux de famille, chouinant « Ah, tu m'a éclaté les boules avec des billes ! ». Le coupable est encore en liberté et accepte les chèques. À part cela... Mais je sais pas moi, vous vous attendiez à quoi comme édito de la part du gars qui écrit des rubriques comme « Le Rageux de Base » et « Les échos du Multivers » ? Une révélation de sagesse et une introspection spirituel ? Allez donc lire cette édition de Pixarom avant que l'envie ne me prenne de vous retranscrire ici en français ce que j'avais dans l'intention de rendre comme mémoire lors de ma première année de Master d'Allemand (un mémoire d'environ une quarantaine de pages si je me souviens bien... où l'ai-je mis encore ce torchon...?) ! Quoi, vous êtes encore là ? Bon, OK, je suppose que je peux faire un effort de sérieux pour une fois que l'on me confie un éditorial... [Note de Bob : c’est lui qui a demandé à le faire, té.] La première fois que j'ai entendu parler du journal de Romstation, j'ai juste rigolé dans mon coin en me disant « Encore une idée de gens qui veulent un truc mais qui vont finir par s'en désintéresser, ou ne rien faire pour que ça se réalise... » Et j'ai eu raison les premières fois (oui parce que Pixarom est pas la première tentative, hein, ni la première résurrection de l'idée...), mais cette fois ci, en voyant Dagan, Aronaar et d'autres encadrer le projet, j'ai simplement honnêtement pensé que ça risquait de marcher. Comme on peut le voir, nous en sommes à PixaRom aujourd'hui, qui a presque une infrastructure professionnelle grâce à l'investissement de chacun. [Note de Bob : le reste de l’équipe se dédouane entièrement de ces allusions à un niveau professionnel et ne prend aucune responsabilité quant aux réactions affiliées] Personnellement je n'y crois toujours pas totalement, mais les faits sont là : nous sommes apparemment lus, et suffisamment appréciés pour que les gens en redemandent aussi... Cependant, ne m'en voulez pas, je ne vous dirais pas merci, d'une part parce que j'ai la flemme, et d'autre part parce que j'ai une bonne excuse : le temps qui saute sur ce merci est réinvesti dans un article et permet un peu plus d'application sur celui-ci. Enfin, c'est ce que je me permets de croire en tout cas, même si je sais moi-même que ce n'est qu'une excuse bidon... [Note de Bob : c’est une excuse bidon.] Petite sagesse avant de clore cet édito : il y a des jours ou vous êtes des pigeons et d'autres ou vous êtes des statues. Aujourd'hui est un jour statue. Le mot de la fin de cet éditorial sera « Cage ». Ne manquez pas de le dire assez souvent à Dagan. Nnamhock PixaRom magazine    3