EDITORIAL
Ah les dix taux...
Certains auront déjà reconnu la
plume du clown de Pixarom, d'autres
se demandent encore quel est le boulet qu'on a laissé écrire l'édito de ce
mois-ci.
Pour les seconds, la réponse sera
en bas, vu que l'édito est généralement signé. Marrant d'ailleurs, on
croirait pas, mais pour un gars qui,
lorsqu'il lisait des magazines, se
foutait en général royalement des
éditos, c'est quand même un comble
qu'il en écrive un lui même...
Mais bon, revenons en à l'édito :
Pixarom V, Le Retour du reviendage
de la revanche vengeanciquement
vengée ! Ou juste Pixarom V, plus
sobrement, et moins stupidement...
Comme toujours, vous aurez droit
à vos rubriques préférées et ou honnies habituelles que nous
vous avons tous concoctés avec
amour (ou pas)... à l'exception peutêtre du Rageux de Base, dont l'avenir
en ce monde est... comment dire...
incertain.
Essentiellement
parce
que
l'intéressé derrière ces articles se
voit en panne d'inspiration, mais je
dirais cependant plutôt ma raison
à moi : DarKvin 75 devenait plutôt
casse-burnes, avec tout le niveau que
l'on peut lui accorder, et a eu ce qui
l'attendait depuis longtemps, c'est à
dire qu'un inconnu connu de lui l'a
attendu un soir en bas de chez lui et
lui a tiré dessus de sang froid à bout
portant avec une réplique d'airsoft
empruntée avant de le laisser là par
terre, se morfondant sur lui-même,
les mains sur ses joyaux de famille,
chouinant « Ah, tu m'a éclaté les
boules avec des billes ! ». Le coupable est encore en liberté et accepte
les chèques.
À part cela...
Mais je sais
pas moi,
vous vous
attendiez
à quoi
comme
édito de la
part du gars
qui écrit des
rubriques
comme
« Le
Rageux
de Base
»
et « Les échos du Multivers » ? Une
révélation de sagesse et une introspection spirituel ?
Allez donc lire cette édition de
Pixarom avant que l'envie ne me
prenne de vous retranscrire ici en
français ce que j'avais dans l'intention
de rendre comme mémoire lors
de ma première année de Master
d'Allemand (un mémoire d'environ
une quarantaine de pages si je me
souviens bien... où l'ai-je mis encore
ce torchon...?) !
Quoi, vous êtes encore là ? Bon,
OK, je suppose que je peux faire un
effort de sérieux pour une fois que
l'on me confie un éditorial... [Note de
Bob : c’est lui qui a demandé à le faire,
té.]
La première fois que j'ai entendu
parler du journal de Romstation, j'ai
juste rigolé dans mon coin en me
disant « Encore une idée de gens qui
veulent un truc mais qui vont finir
par s'en désintéresser, ou ne rien faire
pour que ça se réalise... »
Et j'ai eu raison les premières
fois (oui parce que Pixarom est pas
la première tentative, hein, ni la
première résurrection de l'idée...),
mais cette fois ci, en voyant Dagan,
Aronaar et d'autres encadrer le projet,
j'ai simplement honnêtement pensé
que ça risquait de marcher.
Comme on peut le voir, nous en
sommes à PixaRom aujourd'hui, qui
a presque une infrastructure professionnelle grâce à l'investissement
de chacun.
[Note de Bob : le reste de l’équipe
se dédouane entièrement de ces allusions à un niveau professionnel et ne
prend aucune responsabilité quant
aux réactions affiliées]
Personnellement je n'y crois toujours pas totalement, mais les faits
sont là : nous sommes apparemment
lus, et suffisamment appréciés pour
que les gens en redemandent aussi...
Cependant, ne m'en voulez pas, je ne
vous dirais pas merci, d'une
part parce que j'ai la flemme, et
d'autre part parce que j'ai une
bonne excuse : le temps qui
saute sur ce merci est réinvesti
dans un article et permet un peu
plus d'application sur celui-ci.
Enfin, c'est ce que je me permets
de croire en tout cas, même si
je sais moi-même que ce n'est
qu'une excuse bidon...
[Note de Bob : c’est
une excuse bidon.]
Petite sagesse avant
de clore cet édito : il y a
des jours ou vous êtes
des pigeons et d'autres
ou vous êtes des statues. Aujourd'hui est un
jour statue.
Le mot de la fin de cet
éditorial sera « Cage ». Ne
manquez pas de le dire
assez souvent à Dagan.
Nnamhock
PixaRom magazine
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