PixaRom numéro 4 PixaRom numéro 4 Mars 2014 | Page 12

Aperçus Dragon Ball Z Supersonic Warriors D ragon Ball, l’une des séries de mangas les plus lus au monde… La seule série des années 80 ayant encore suffisamment d’impact pour que produits dérivés de la série sortent. J’ai toujours apprécié Dragon Ball, c’est pourquoi je suis assez contraignant sur les jeux qui s’inspirent de cet univers. Dragon Ball Z : Supersonic Warriors fait parti de ces jeux-là et le résultat est plutôt surprenant… C’est un jeu de combat dans lequel vous allez pouvoir contrôler des personnages issus de la célèbre série. Et ici, on a un drôle de truc. Globalement, le système de combat est assez bon : B pour donner un coup léger, A pour envoyer en l’air l’adversaire, R pour charger son énergie et L pour se téléporter. Vous allez pouvoir utiliser diverses techniques en appuyant sur R, A et B en même temps suivant la position que vous avez avec votre adversaire. De plus, vous pouvez envoyer des boules d’énergies plus ou moins puissantes en appuyant sur R et A ou R et B. Enfin, vous pouvez parer avec A et B simultanément. Attention cependant, car si vous parez trop longtem ps, vous vous épuisez et vous devenez vulnérable ! Le système de combat est donc sobre mais bien foutu pour la console, le seul souci venant du fait que vous allez parfois rater des actions car vous n’aurez pas appuyé en même temps sur les touches demandées… Son nom, c’est Bou mais on l’appelle Majin Buu dans le jeu… Allez savoir pourquoi… 12    PixaRom magazine Là où c’est un plus drôle (et un peu plus désolant aussi), c’est sur l’histoire. Chaque personnage contrôlable (au nombre de 13) aura sa propre histoire qui sera donc différente de celle originale pour coller avec les événements. Et quand vous voyez par exemple que c’est Piccolo qui tue Cell pendant que celui-ci se fait capturer par Goku qui se suicide pour le bien de tous, il y a de quoi être surpris ! Bref, chaque personnage a la capacité d’atteindre trois niveaux, le niveau représentant sa force, sa défense, son endurance, etc. Vous pourrez les découvrir en jouant aux différents modes histoires mais vous ne les débloquerez pas dans les autres modes (le Défi, le Combat Z, le Combat libre, le Duel). Il faut, pour cela les acheter dans un magasin contre des points que vous obtenez lorsque vous remplissez un mode. Vous pourrez aussi débloquer des niveaux de difficultés supérieurs qui vous feront bien rager, la difficulté étant tout de même bien présente même en mode normal… Le soft possède assez de contenu mais n’a pas une excellente rejouabilité… Vous chercherez bien à terminer tous les scénarios possibles mais vous vous lasserez vite, les combats n’étant pas assez entraînants pour vous dire de continuer. L’OST, quant à elle, n’est pas médiocre et s’adapte bien au jeu de combat mais elle s’oubliera vite. Pour les plus nostalgiques d’entre vous, vous retrouverez vos marques si vous avez joué à Dragon Ball Z : Super Butouden 2 ou Dragon Ball Z : La Légende Saïen. Vous allez au moins retrouver la même traduction foireuse dans ce jeu. Parce que quand vous lisez Frieza et que l’on vous montre Freezer, vous sentez qu’il y a un petit problème…