Rue des Beaux-Arts n ° 75- Avril-Mai-Juin 2021
1 – Éditorial Par Danielle Guérin-Rose
Voir Naples et mourir
Il était d ’ usage , quand on appartenait à l ’ upper-class victorienne , d ’ effectuer ce qu ’ on appelait « le grand tour » à la fin de ses études supérieures . Ce grand tour européen passait naturellement par la Grèce et par l ’ Italie , étapes incontournables par la richesse et l ’ ancienneté de leur civilisation , la place prépondérante de l ’ art et la beauté grandiose des sites et des paysages . « Un homme qui n ’ est pas allé en Italie est toujours conscient d ’ une infériorité , du fait qu ’ il n ’ a pas vu que ce qu ’ on attend d ’ un homme qu ’ il ait vu » 1
Oscar Wilde ne faisait pas exception à la régle . Issu d ’ une excellente famille de la bourgeoisie dublinoise , il passa une partie de ses vacances d ’ été 1875 en Italie avec son professeur de Trinity College
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James Johnson – Change of air , or the Pursuit of Health – Londres 1837 ( traduction DGR )
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