Susan Fiske,
Psychologue à l’université
de Princeton.
T
out d’abord, elles ont
cherché à voir si les idoles
étaient ou non nécessaires.
Pour cela, elles ont fait des
nombreuses recherches afin
de
trouver
plusieurs
réponses possibles à leur
problématique. Elles ont
trouvé des résultats variés
et différents les uns des
autres.
Elles savaient, pourtant,
que les personnalités des
individus ne sont pas
biologiquement,
mais
socialement héritées. Ainsi,
elles
se
sont
rendues
compte que la socialisation
(ensemble de processus qui
permettent à un individu
d’intérioriser les normes et
les valeurs propres à un
groupe social ou société
donnée) était présente chez
les idoles et modèles.
« Souvent, les adolescents de la
société actuelle jugent le reste
des individus lorsque ceux-ci ont
des comportements et décisions
différentes à celles du reste. »
"Souvent, les adolescents de la
société actuelle jugent le reste
des individus lorsque ceux-ci
ont des comportements et
décisions différentes à celles du
reste. Pour cela, certaines
personnes se sentent obligées à
changer leurs attitudes et suivre
certains modèles et idoles,
généralement
auxquels
ils
idolâtrent, afin de se sentir
adapté à la société. Les idoles,
dans ce cas pourraient être une
manière
de
sentir
l’appartenance à un groupe,
ainsi, certaines personnes le
qualifieraient de nécessaire. On
peut parler aussi d’influence
sociale. On utilise ce terme
lorsqu’on se retrouve au milieu
d’un groupe qui partage une
norme. On aurait tendance à se
conformer afin d’être accepté
dans ce groupe et de ne pas
subir de désapprobation sociale,
comme nous le définit Susan
Fiske." Affirmait Oriana.
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