Magazine du club MediCamp MediMag N°01 | Page 15

Après avoir été chef de département de médecine, vous avez pris le poste de vice doyen, en quoi consiste ce travail, et quel regard portez-vous sur cette responsabilité? Après avoir été chef de département de médecine pendant trois années, la responsabilité du vice doyennat est une continuité d’ autant plus qu’ il s’ agit de la pédagogie et des questions liées aux étudiants.
Que représente les 6 ans de la faculté pour vous? et quel sera le positionnement de la faculté de médecine de Mostaganem au niveau national? Ces 6 ans ont été un challenge le fruit d’ un travail difficile, dur et surtout d’ un engagement continu. En le comparant avec ma vocation initiale au bloc opératoire, la pression est toute aussi importante mais la satisfaction de la concrétisation également. Pour la place de la faculté, il n’ y a pas mal de choses qui ont été faites, et surtout un grand travail qui reste à faire. Pour une jeune faculté, des points positifs sont à noter tel réussir à instaurer et intégrer l’ enseignement par simulation, la formation aux gestes de premier secours, le tutorat entre les pairs, l’ évaluation pratique par examen clinique objectif structuré E. C. O. S, les séances d’ ARC, la plateforme des cours en ligne mais certainement des points à améliorer notamment les stages pratiques et leur organisation ainsi que leur évaluation.
En dehors de la médecine, quel est le domaine qui vous attire le plus? J’ ai toujours aimé le sport mais malheureusement j’ ai dû arrêter à cause de ma maladie. Maintenant le domaine du numérique et de l’ intelligence artificielle me fascine particulièrement.
Comment occupez-vous votre temps libre? Je n’ ai pas beaucoup de temps libre à cause de mes engagements, mais pour le peu de temps qui me reste, c’ est les enfants, les parents puis la lecture, revoir l’ histoire du monde nous explique beaucoup de choses, je vois beaucoup de documentaires dans cette optique.
Votre idole ou la personne qui vous inspire? Pour moi les personnes qui m’ ont inspiré sont des personnes qui ont vraiment marqué mon enfance, principalement mes enseignants parmi lesquels mon enseignant de sciences naturelles Mr BLEL et enseignant de mathématique au lycée LOTFI Mr Gerard BENAIOUN, des gens qui nous ont appris la rigueur et la discipline ainsi que les bases de la logique et la réflexion, mon idole de tous les temps est bien évidemment mon père qui nous a montrés le chemin en étant ce qu’ il est.
Quel est votre rêve? Je rêve du concept d’ une école de chirurgie en Algérie, où les résidents peuvent apprendre les bases de leur chirurgie comme j’ ai vu que les autres apprennent ailleurs, une école où l’ apprentissage serait structuré avec dissection de cadavres et simulation numérique ainsi que des programmes spécifiques.
Si vous pouvez résumer la réussite en une seule phrase, que serait-elle? La persévérance, car on ne peut pas réussir du premier coup, et si c’ est le cas ce serait plus la chance du débutant.
Selon vous, qu’ est-ce qu’ un bon médecin? C’ est quelqu’ un qui sait écouter son malade, répondre à ses inquiétudes et le soigner aussi bien psychiquement que physiquement.
Un message aux étudiants de la faculté? Je leur dis que notre réussite c’ est que vous réussissiez car c’ est les étudiants qui font la faculté et non pas le contraire, il faut que vous soyez convaincus que la compétence ne s’ obtient pas facilement, et que la réussite sera votre accompagnant le jour où vous décidez de travailler et de prendre votre destin en main. L’ apprentissage est centré sur l’ apprenant c’ est-à-dire vous.
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i n t e r v i e w et le privilège d’ assister à la naissance de la faculté de Mostaganem et à la concrétisation du projet du centre de simulation: des moments mémorables.

Après avoir été chef de département de médecine, vous avez pris le poste de vice doyen, en quoi consiste ce travail, et quel regard portez-vous sur cette responsabilité? Après avoir été chef de département de médecine pendant trois années, la responsabilité du vice doyennat est une continuité d’ autant plus qu’ il s’ agit de la pédagogie et des questions liées aux étudiants.

Que représente les 6 ans de la faculté pour vous? et quel sera le positionnement de la faculté de médecine de Mostaganem au niveau national? Ces 6 ans ont été un challenge le fruit d’ un travail difficile, dur et surtout d’ un engagement continu. En le comparant avec ma vocation initiale au bloc opératoire, la pression est toute aussi importante mais la satisfaction de la concrétisation également. Pour la place de la faculté, il n’ y a pas mal de choses qui ont été faites, et surtout un grand travail qui reste à faire. Pour une jeune faculté, des points positifs sont à noter tel réussir à instaurer et intégrer l’ enseignement par simulation, la formation aux gestes de premier secours, le tutorat entre les pairs, l’ évaluation pratique par examen clinique objectif structuré E. C. O. S, les séances d’ ARC, la plateforme des cours en ligne mais certainement des points à améliorer notamment les stages pratiques et leur organisation ainsi que leur évaluation.

En dehors de la médecine, quel est le domaine qui vous attire le plus? J’ ai toujours aimé le sport mais malheureusement j’ ai dû arrêter à cause de ma maladie. Maintenant le domaine du numérique et de l’ intelligence artificielle me fascine particulièrement.

Comment occupez-vous votre temps libre? Je n’ ai pas beaucoup de temps libre à cause de mes engagements, mais pour le peu de temps qui me reste, c’ est les enfants, les parents puis la lecture, revoir l’ histoire du monde nous explique beaucoup de choses, je vois beaucoup de documentaires dans cette optique.

Votre idole ou la personne qui vous inspire? Pour moi les personnes qui m’ ont inspiré sont des personnes qui ont vraiment marqué mon enfance, principalement mes enseignants parmi lesquels mon enseignant de sciences naturelles Mr BLEL et enseignant de mathématique au lycée LOTFI Mr Gerard BENAIOUN, des gens qui nous ont appris la rigueur et la discipline ainsi que les bases de la logique et la réflexion, mon idole de tous les temps est bien évidemment mon père qui nous a montrés le chemin en étant ce qu’ il est.

Quel est votre rêve? Je rêve du concept d’ une école de chirurgie en Algérie, où les résidents peuvent apprendre les bases de leur chirurgie comme j’ ai vu que les autres apprennent ailleurs, une école où l’ apprentissage serait structuré avec dissection de cadavres et simulation numérique ainsi que des programmes spécifiques.

Si vous pouvez résumer la réussite en une seule phrase, que serait-elle? La persévérance, car on ne peut pas réussir du premier coup, et si c’ est le cas ce serait plus la chance du débutant.

Selon vous, qu’ est-ce qu’ un bon médecin? C’ est quelqu’ un qui sait écouter son malade, répondre à ses inquiétudes et le soigner aussi bien psychiquement que physiquement.

Un message aux étudiants de la faculté? Je leur dis que notre réussite c’ est que vous réussissiez car c’ est les étudiants qui font la faculté et non pas le contraire, il faut que vous soyez convaincus que la compétence ne s’ obtient pas facilement, et que la réussite sera votre accompagnant le jour où vous décidez de travailler et de prendre votre destin en main. L’ apprentissage est centré sur l’ apprenant c’ est-à-dire vous.

L’ apprentissage est centré sur l’ apprenant c’ est-àdire vous.

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