Made In Burundi Les 10 Jeunes Influents | Page 45

a reine du Grand est Lynda Brown ée dans la e de CIBITOKE, RA le 5e jour du la cadette d'une t ma vie » nous dit école primaire où é une troupe église vivante de éâtre et c’est emière fois à la avait réalisée » st prise étrage de Robert nte». Grand écran ans pas moins de x du meilleur rôle éma car j'ai ènes à faire à la our, il y a aussi le GITO L'INGRAT, l'Avortement ce pour la 1ere e dirai que j’aime r au resultat que aisser les bras Kris Nsabiyumva, Le Mr Burundi Kris Nsabiyumva est née le 25 Juin 1987 à Bujumbura, de parents Burundais.« J'ai vécu une grande partie de mon enfance à Mombasa, Kenya; avant de retourner au pays où j'ai fait l'école secondaire au Lycée SOS, ensuite je suis reparti pour l'Université en Angleterre (University of Buckingham), où j'ai fait l'Economie. Nahejeje Décembre 2008 et ça va faire 3 ans et demi que je travaille à l'OBR. - Le blogging c'est juste un hobby au fait. J'ai commencé ça un peu par hasard en 2011, poussé par l'ennui mais aussi pour partager avec mes amis et ma famille, mes petites aventures et leçons de vie, à la Burundaise. Certaines personnes que je ne connaissais même pas ont trouvé mon blog (Mister Burundi) et ont commencé à me complimenter et à m'encourager. D'autres m'ont félicité pour mon "courage" de parler de ma vie comme je le faisais et j'ai réalisé qu'il y avait des gens qui voulaient faire la même chose mais qui étaient réticents de s'exprimer comme je le faisais ou du moins de commencer des blogs dédiés à leurs vies. Ngo ni #Kwibaraguza mama! Lol. C'est ainsi que m'est venu l'idée de lancer This Burundian Life, un espace où n'importe qui peut partager son expérience sans pour autant sentir cette pression de notre société qui exige "la discrétion". Le fait que le blog est ouvert à tout le monde et le fait qu'on peut publier anonymement annule l'effet "kwibaraguza" (good luck translating that lol) ». A propos de sa plus grande fierté « Ma plus grande fierté c'est d'avoir permis aux gens de s'exprimer librement, et même de parler de choses tabous à la limite (amour, sexualité, problèmes de société, craintes face à la vie professionnelle, entre autres)... ce qui permet de faire tomber les murs que nous construisons autour de nous en faisant semblant que tout va bien alors que non. Cela permet aussi de briser les stéréotypes et de créer un climat d'appréciation de l'autre malgré ses différences. Des fois ça permet de s'accepter aussi parce qu'on réalise que les autres vivent les mêmes problèmes que nous ». « Le secret de la réussite ? Faire ce qu'on aime et qu’on sait faire. Quand on fait quelque chose qu'on aime, on n'a besoin que d'encouragements et de reconnaissance pour continuer et les critiques non-constructives ne nous affectent pas. Mais il faut aussi faire ce qu'on a l’aptitude de bien faire, notamment en demandant de l'aide là où on se sent limité. Par exemple moi je fais vérifier mes textes avant de les publ