gros un enregistrement de nos
célèbres Tambourinaires.
Tout commence en 1967 quand
deux anthropologues CHARLES DUVELLES et MICHEL VUYLSTEKE
sont en voyage au Burundi pour
collecter nos musiques traditionnelles dans un but plus que
louable de: « Protection d’un
patrimoine culturel immatériel ».
C'est ainsi qu'en 1971 MICHEL
BERNHOLC, sans doute à la recherche d’inspiration, tombe sur cet
enregistrement de nos chers tambourinaires et s'empare de cet EN-
Un An plus tard l'album MUSIQUE DU BURUNDI voit le jour
sous le label OCORA (soit l’ Office
de Coopération Radiophonique)
avec 11 titres dont des morceaux
d’INANGA, de FLUTE traditionnelle,
d’IKEMBE ou encore d’UMUDURI et
pour clore ledit album, un titre inti-
SEMBLE OF DRUMS pour en faire la
base de son titre BURUNDI BLACK,
la suite vous la connaissez déjà;
125 000 disques vendues,
BERNHOLC s’approprie tout le crédit et les royalties qui vont avec sûrement et ‘‘s'enrichie’’ ainsi sur le
dos de nos pauvres percussionnistes qui n'ont sans
doute jamais su qu'ils
squattaient le sommet
des hit-parade en compagnie de légendes de
la musique populaire
mondiale et ce, pendant plusieurs semaines.
125 000 disques
vendues
Des groupes de punk tels que
BOW WOW WOW ou encore
ADAM & THE ANTS font de nos
percussions leurs marques de
fabrique...
tuler ENSEMBLE OF DRUMS qui
comme son nom l'indique est en
L'histoire de nos chères tambourinaires ne s'arrête pas là puisqu’en