Dossier
n°258 Août 2019
le sort, les chaines de
complicités tenues dans
l'ombre s'érigent en
forces prédatrices
contre votre journal.
Faut-il donc garder le
silence et subir les
affronts ou mieux agir
et écarter sans faiblesse
des comportements non
éthiques qui ruinent ce
pays?
C'est dans ce cadre que
votre journal a initié
une série d'enquête sur
des fonds octroyés à la
branche togolaise de la
Coalition Publiez Ce
Que Vous Payez
(PCQVP) par la
branche internationale
qui à ce jour, à défaut
de compte rendu a
radicalement tourné la
page d'une
collaboration avec les
OSC du Togo.
La publication de cette
information dans nos
parutions précédentes
(http://loeildafrique.ove
r-blog.com/2019/03/au-
pcqvp-togo-un-audit-s-
impose-la-charite-bien-
ordonnee-commence-
par-soi-meme-avant-
de-demander-aux-
industries-de-publier-
ce-qu-ell).
Au lieu de recevoir
l'assentiment de
certaines OSC
membres de la
Coalition PCQVP
Togo, cette publication
a été plutôt ressentie
par elles comme un
poignard dans le dos.
Pourtant, bien avant
cette publication, au
titre des enquêtes, nous
avions dans les
couloirs, essayé
d'échanger avec ses
membres pour nous
assurer de leur
implication.
Paradoxalement, après
la sortie de notre
dossier(http://loeildafri
que.over-
blog.com/2019/03/impe
rative-transparence-et-
redevabilite-publiez-ce-
que-vous-payez-pcqvp-
togo-doit-rendre-
compte.html)
Ces membres sont prêts
à jeter du discrédit sur
notre seul homme. Il
nous est reproché de
toucher à l'interdit.
D'aucuns ont dit à qui
veut l'entendre que
nous avons signé notre
arrêt de mort, que nous
aurions mieux fait de
nous mettre la corde au
cou. Un fait surprenant
dans la mesure où le
rôle régalien des OSC
surtout dans le secteur
minier autorise à ce
qu'elles soutiennent de
telles publications, et
non le contraire. Ce qui
n'est pas le cas.
A défaut de le faire,
nous nous attendions à
ce qu'ils apportent un
démenti, jamais, nous
n'avions eu de suite. Ils
se sont tapis dans
l'ombre à vouloir nous
menacer, à brandir des
forces malsaines pour
tenter de nous faire
peur, allant jusqu'à
méconnaitre nos droits
au sein des instances,
droits sur lesquels nous
disposons des écrits
palpables (nous y
reviendrons).
Ce faisant, nous voyons
clairement le schéma
de tous les complices,
ainsi ils se dénoncent
au grand jour et nous
rassurent de ce que
notre action est
importante.
A suivre...
Ricardo Valens
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