Mes mots
Fuseront toujours mes mots acerbes sans colères,
Des origines, dans l’expression amère,
Qui s’inspirent d’une époque guerrière,
Toujours debout, pour mettre les points sur les i,
Faute aux accords présents, passés,
On en perd la syntaxe, le fil de la vie.
Le petit robert, mon apprentissage des le plus
jeune âge,
De la prose et du vers,
Quand je rêvais du dormeur du val,
Du Poète maudit,
L’esquisse d’un voyage sans Ulysse,
Toujours en solitaire, c’est mon vice
Parcours banal d’un minot de cité,
L’humanité rencontrée dans les livres,
A boire ces histoires inconnues jusqu’en être ivre,
Esquivées les aventures de Tintin,
Pour cause de préjugées sur les visages lointains,
C’est le début de la conscience,
De mon écriture, d’une littérature à rature
Mon hérésie sera disséquée par le pseudo
science, Pour être relevé sans courbatures,