Ce n’était pas encore la génération tablette et selfie
Il ne reste que des souvenirs en fuite
Faut –il regarder dans le rétroviseur
Pour comprendre que le parcours d’une vie peut être- juste une histoire
d’exil
A chacun sa latitude et hémisphère
Il paraît que c’est à bout portant qu’on vise le bonheur
La plénitude à l’instant T au jour J
Pour toi mon père, mon numéro 10
Sans détour il ne reste que le cœur
La pile qui alimente la vie
A chacun son exil, son numéro 10
D’ici ou là-bas
Le soleil de la vie brille même à l’ombre.