JUST HUMANIS Just Humanis Mustapha SAIF | Page 12

En se demandant si les dernières ouvrières ne furent que des abeilles. On les auraient vus courir de nuit comme de jour Après des titres, pour l’honneur et le capital, En implorant la valeur des actions de l’industrie La fin de cette histoire est faite de déboires C’est qu’un jour l’homme des terres arides qui a pour dernier souci la dissertation sur les rides Immigra vers le Nord, pour aller chercher la pluie et l’inviter dans son pays. Dès le sol foulé, un peu plus loin que le service étranger, Il remarqua que les gens, couraient, criaient parce qu’ils étaient trempés Il s’arrêta prés de l’un deux qui tenait dans sa main un large parapluie Et devant cette providence lui dit « Vous qui êtes comme moi, dans mon pays quand il pleut, on chante, on danse, nous sommes aussi en transe. » « Si les gens s’affolent, c’est à cause de la pluie car les terminaux nous ont dicté ce message, la pluie n’est que désordre surtout après l’orage et malheur qu’en été » L’homme du sud comprenait que cet homme était un sage mal averti et lui répondit « Aux brûlures du soleil, la pluie à le goût du miel Apporté par ces ouvrières, la récolte pour que les hommes de tout âge, puissent s’en délecter et conjuguer le partage » « J’ai compris, c’est depuis que votre pays a exporté des parapluies dans le nôtre qu'il y a si peu de pluie, que nos histoires sont arides » « Alors marchez entre les gouttes de pluie et vous n’aurez plus besoin d’apprivoiser l’utile et le beau, Reprenez vos parapluies, je m’en vais ailleurs, loin de cette terre avide Qui maudit les nuages qui sont de trop » La morale de cette histoire vue par le conteur