Quelques questions au sujet de
l’annonce
Quelles auraient été les alternatives
pour ATIS si des investisseurs
québécois ne s’étaient pas
présentés?
D’après Robert Doyon, le groupe ATIS
a été approché depuis un certain
temps par des fonds américains et
européens. Cependant, sa priorité en
tant que fondateur de la compagnie était
orientée vers le maintien des activités
de l’entreprise au Québec. Certains
acheteurs potentiels, des compétiteurs,
auraient préféré fermer certaines unités
d’ATIS et causer le déménagement du
siège social à l’étranger.
De même, Geneviève Bouthillier
estime que la valeur générée par la
compagnie ira ainsi dans les poches
des investisseurs du Québec plutôt que
dans celles des fonds extérieurs.
Horizon Weekend - Montréal, 08 Mars 2015 - Page 16